into the maze
a. runb. looking for paradisec. waiting for deathd. eat friends
« Après ma mort, souvenez-vous de moi ; qu’elle vous ait été utile, mais je suis plus que ça ! Je suis plus qu’un outil de votre survie, je suis un être humain ! Chaque morceau de moi que vous mâchez est imprégné de mon essence, de mes souvenirs, de mes joies et de mes peines. Rappelez-vous de moi et de qui j’étais. Même disparu, je laisse derrière moi une empreinte, un rappel de ce que signifie être vivant. »
will you listen, my child ?
kafka et rex ont pu bond ensemble sur les larves... #chelou un peu non ???? petite pensée à leurs love interests
alb a demandé à sortir avec coco alors qu'il sortait déjà avec jozie ??? mystère à suivre
ah et niveau trouple ça y va.... love, dani et nine sont ensemble!!!
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(soirée de l'été) hit me where it hurts, I'm coming home to lose (castor & pollux)
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Castor
Sans étoile
Castor
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[ Mar 3 Sep 2024 - 14:24 ] (soirée de l'été) hit me where it hurts, I'm coming home to lose (castor & pollux)
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victim of the system, say it isn't so
elle est partie. elle est partie en me laissant là.
comme d’habitude.
elle m’a laissé en plan, seule face à moi-même et à mes sentiments.
comme d’habitude.
elle m’a laissé sans m’emporter avec elle, sans me regarder, sans douceur.
comme d’habitude.

que ce soit ce soir, il y a deux ans ou cinq, je suis toujours aussi faible. il faut se rendre à l’évidence: je l’aurai jamais, sa putain de reconnaissance. je ne serai JAMAIS assez bien pour paris. c’est tout. c’est tout à ça m’écorche tellement de le dire que j’ai envie d’hurler. que ce soit dans son ombre, que ce soit à l’escrime, que ce soit dans l’enclave… ce n’est JAMAIS assez. maintenant, il faudrait  que je sois étoilée pour qu’elle soit contente ? moi ? étoilée ? MOI ?

non, j’peux pas. je m’en sens pas capable. j’y arriverai jamais. quand j’vois la montagne de travail que c’est que de se hisser, quand j’vois tous les efforts qu’il faut faire… non. juste non. l’angoisse me monte à la gorge et se mélange à la colère. j’peux pas. j’veux pas. j’y arriverai pas ! elle me regardera toute ma foutue vie avec ce regard de mépris.
c’est tout ce qui va se passer.
c’est tout.

j’en ai putain de marre.
je shoot dans mon verre de rage. on était suffisamment loin de la scène pour que personne ne me voit. le verre rebondit une fois, deux fois, trois fois… avant de se briser en plein vol. les éclats s’éparpillent sur le sol et moi je regarde le spectacle d’un air stupide.
putain.
j'suis ridicule.

alors j’ai couru.
j’ai couru pour me réfugier dans les bras de celles qui, au moins, m’aiment pour ce que je suis. j’ai pas trouvé tay mais j’ai cru voir max disparaître vers le lit de la rivière alors j’ai couru par là. j’ai couru, couru, j’ai manqué de me casser la gueule et là depuis mon buisson: je les ai vu.
je les ai vu s’embrasser.
max et argo.
“j’aime argo comme une adelphe.”
pffff. ben tiens.
il s’agirait d’arrêter de me mentir.

j’aurai dû être contente pour elles, j’aurai dû sauter de joie, leur foncer dessus pour les enlacer et les féliciter. chercher les bras d’argo, me moquer de max, rire avec elles devant leur bonheur immaculé.
j’aurai dû faire tout ça.
mais je suis une sale égoïste.
j'en étais pas capable.

alors j’ai fais demi-tour, j’ai couru dans la forêt sans m’arrêter, j’ai fini par  trébucher sur une racine, j’ai dévalé une pente. je me retrouve en contre-bas dans une espèce de clairière que je ne connais ou ne reconnais pas. à vrai dire, je m’en fou.

“PUTAIN !”

je viens frapper le tronc d’arbre de mon poing et la douleur me transperce d’un coup. j’ai la main défoncé, y’a du sang sur mes phalanges et je serre les dents pour pas crier encore plus. je sais pas pourquoi je suis comme ça. pourquoi je suis autant en colère. pourquoi je suis autant frustrée.

je crois que j’en ai juste marre de me faire piétiner.

alors je tombe doucement au sol. j'ai les larmes qui perlent au coin de mes yeux. je me rend bien compte que je suis ridicule. le pauvre arbre n’a rien demandé et je ne gagnerai pas ce combat face à lui - si je m'acharne, je finirai au sol et lui sera toujours debout - alors autant le faire maintenant. je me laisse porter par la gravité pour venir planter mes talons dans la terre. ça me calmera peut-être.

je suis perdue dans la tempête de mes pensées, ma frustration comme un brasier. la colère s’évapore et laisse place à un bruit blanc dans mon esprit. j'ai envie de pleurer, je pleure peut-être un peu. je flotte entre le monde réel et celui assourdissant de mes sentiments bâtards et incompréhensibles. je n’entends pas l’ombre qui s’approche derrière moi, je ne la vois pas.
11 août
23h
dans la forêt
ft. pollux
Pollux
Une étoile
Pollux
Avatar : Mercredi Addams (illustré) ᥫ᭡ Jenna Ortega
Âge : XX
Poste : couturière
Clubs : boxe ᥫ᭡ musique ᥫ᭡ sciences
Statut : amoureuz
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Pouvoir : glouton (inactif)
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[ Lun 9 Sep 2024 - 23:00 ] (soirée de l'été) hit me where it hurts, I'm coming home to lose (castor & pollux)
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Privado

You know you're bright as the morning,
as soft as the rain
Pretty as a vine, as sweet as a grape
Too sweet
Hozier

tu n’en pouvais plus de la regarder ouvrir les lèvres et les yeux sur les autres. ce cinéma muet où ses épaules se sont doucement affaissés — elle a les genoux qui plient quand on lui dit des choses insupportables — au point d’être un fétu de paille dans la foule déchirée. tu te tenais systématiquement à la buvette d’en face, un verre de grenadine pétillante, ou assise dans un petit siège en bordure, une profonde indifférence pour l’affichage de cette solitude acerbe. il aurait été opportun de cesser d’être spectatrice après les courbettes des Racoons dans leur jolies vestes, bien neuves, qui sentaient bon ton amour du travail bien fait. tu t’es même sentie légèrement coupable et honteuse de faire la queue derrière les autres pestes qui veulent s’approprier tes grimaces d’animal blessé. seulement, intervenir trop tôt, c’était endossé le mauvais rôle dans le théâtre prémédité de l’Enclave. le frein péniblement rongé de ta patience ressemble à la petite serviette de papier méticuleusement déchiquetée dans le parterre où tes docs ont pris racine.

popo. lulux. peluche. semblait médire la voix de Max sous ton crâne.
tu n’avais pas aimé pensé à elle. tu n’en avais pas un bon souvenir. et tu détestais quand le continuum de tes pensées ne suivait pas la seule direction décidée : Castor. ses baskets ont furieusement percé la masse de la fête. on aurait dit un rejet. il avançait propulsé par l’altération produite par le dégoût, terrible, il n’avançait pas vers toi bien tôt. il se ruait dans le décor des bois comme s’il s’agissait des mêmes façades en carton qu’au théâtre et qu’il pouvait les défoncer.  ce qui était stupide mais tu te faisais la promesse de ne pas lui dire en la retrouvant, les mains cramponnées à ta traîne de dentelles pour tenir le jupe longue au-dessus des cuisses. elle. elle vit sa propre comédie dramatique. et s’il y avait un million de caméras probablement qu’elle s’en ficherait de la même façon, de cascader des racines à la terre, dans l’enchevêtrement de la nature qu’elle cultive et qui la déteste. elle doit être rougie par les orties et lacérées de ronces maintenant qu’elle est tombée, qu’elle a tapé conte un tronc, qu’elle a hurlé sur le silence merveilleux de la nuit. sale et furieuse. est-ce qu’elle se sent même un tout petit mieux de faire subir à sa peau parfaite, son sourire parfait, ses cordes vocales parfaites, toute la saloperie qu’on vient de jeter sur son cœur — parfait.

à sa suite, tu arpentes plus lentement les brèches ouvertes de l’humus, toi, tu t’es fait belle devant le miroir en ne pensant qu’à Castor et égoïstement tu veux rester belle même quand elle te regardera pleine de crasse mouillée d’eau salée, ces chagrins liquides persistent à travers le chant des cigales.

« Cas. C’est Pollux. » tu essayes d’avoir une voix rassurante. depuis tout à l’heure tu essayes de faire le vide. de ne pas être inquiète, en colère et à bout de patience. tu essayes, et dans cet effort cuisant réside ton adoration. pour qu’en te voyant marché sur les fougères, elle ne s’ensevelisse pas définitivement sous les brins d’herbe. « C’est l’esprit métal de se rouler dans la terre. » tu essayes d’avoir l’air marrante. parce que ce serait plus facile d’avoir l’air méchante de lui raconter comment tu vas enterre la tête de Paris sous le siphon de la piscine et manger les bracelets d’amour d’Argo et Max. tu essayes, et dans cet effort monstrueux — comme toi — demeure les espoirs filiformes. tu t’accroupis. une brindille craque. alors tu tressailles d’être franchement en face de tout ce que tu ne peux pas retenir : ta main qui caresse les cheveux d’où quelques gravas tombent et la joue pour la tourner vers toi — la ré-axer en quelque sorte.

« Pleure pas Cas. T’es trop belle pour pleurer. » un sourire fantomatique germe à tes lèvres.
11 août
Castor



Castor
Sans étoile
Castor
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[ Mer 11 Sep 2024 - 10:30 ] (soirée de l'été) hit me where it hurts, I'm coming home to lose (castor & pollux)
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victim of the system, say it isn't so
c'est le bordel dans la tête et même la douleur de ma main écorchée ne suffit pas à me ramener sur terre. c'est marrant d'ailleurs, je ne flotte pas. mes pieds bien ancrés comme une foutue malédiction: quand j'veux m'échapper j'suis clouée au sol. je crois que c'est le poids de la colère. je veux cogner l'arbre encore un peu, cogner cogner cogner si fort que l'enclave en tremble. au mois, là, on saura que j'existe.

je repense aux mots de paris et ça me broie le cœur. j'ai envie de pleurer à m'en cramer la gorge comme un aérosol. ma main vient caresser les plis de mon col, il n'y a rien sous mes doigts, aucune broche étoilée, que la défaite et le néant.

et alors ?
qu'est-ce que ça peut leur faire, à tous ?
rea pierrot argo max tay paris.
ils ont toujours un truc à dire. un truc que je fais mal. un truc qui ne va pas.

et alors ?
ET. ALORS ?
j'ai pas le droit d'être moi ?

il y a un bruit dans mon dos et je tourne doucement la tête pour voir de qui il s’agit. je n’ai rien entendu et ce qui aurait dû me surprendre ne me fait rien: je ne ressens plus rien de ça. je ne tressaute pas et je toise celle qui a osé s’approcher.
pollux.
évidemment.

de toutes les personnes qui auraient pu me trouver ce soir, il a fallu que ce soit toi. je te parles enfin à la deuxième personne parce qu’il n’y a que toi devant moi et t’existe tellement fort que je ne peux plus me voiler la face. c’est marrant. maintenant que j’y pense, t'étais partout ces derniers mois. je ne saurai dire quand cela à commencé, quand est-ce que tu as commencé à s'immiscer dans ma vie avec tant de ferveur; sur une table non loin au réfectoire, dans la cacophonie du club de musique, dans le coin de mon regard et dans les pas de mon ombre.
j’ai passé mon temps à te fuir pour mille raisons tout en n'en ayant aucune.  je t’ai jugé sans te connaître et je t’ai tenue à l’écart pour que ta fatigue s’épuise contre mon corps et que tu me laisses tranquille. j’ai utilisé dorothée et ta capacité en excuse, j’ai fermé les yeux sous prétexte que j’étais mieux seule et que je préférais le silence à ton ombre. c’est drôle parce que la vérité est plus lâche que ça: je ne voulais juste pas t’affronter et quitter ma zone de confort.

mais t’es là. mon monde s’effondre et il ne reste plus que toi.
alors soit.

“je ne pleure pas.”

j’essuie mon visage pour enlever les traces de mon désespoir avant de te faire face. ce regard que je te porte, tu ne l’as encore jamais vu. ce n’est ni le regard de dédain que je t’offrais avant, ni celui de malaise quand tu étais trop proche. ce n’est pas non plus celui pleine de douceur quand je te confiais mes rêves, ni celui chaleureux qu’on a partagé entre aiguilles et fils. je ne saurai le décrire. je n’ai jamais été doué pour ça. tout ce que je sais c’est qu’il faut que je me lève et que je me batte, que l’énergie coincée dans les fibres de mes muscles se déversent. s’arrêter c’est mourir alors il me faut du mouvement.

“je les déteste tous.” les parents, les blocards, l’enclave. tous mais toi je t’exclue implicitement puisque je n’ai pas dis vous, mais bien les. je me confie à toi dans un souffle alors que je me relève. “j’en ai rien à foutre de leur système de merde. moi je veux être libre.”

ta main dans mes cheveux me fait frémir. je te laisse faire cette-fois, je continue de te toiser avec intensité. ces caresses me font indéniablement penser à paris alors j’envoi de la rage pour les faire taire. je ne veux plus penser à elle. c’est le chaos dans ma tête et pourtant tout est clair et limpide. je ne sais toujours pas où j’en suis mais je m’en moque. ce qui me paralysait avant dans nos échanges n’est plus un obstacle, peut-être est-ce là le lâcher prise. je suis tout en bas mais j’ai le sentiment de pouvoir m’élever et dévorer le monde.

je crois que je commence à savoir qui je suis. je ne sais toujours pas ce que je veux mais le mot revanche perle dans mon crâne. contre qui ? va savoir. ce n’est pas l’important. il y a en moi un feu qui vient de naître. le brasier est encore faible mais sa faim se fait ressentir.
j’en veux plus.
je ne sais pas ce que je veux mais j’en veux plus.

“je suis libre, pollux.”

c’est une affirmation et une question. toi pollux, qu’est-ce que tu vois devant toi ? qu’est-ce que je suis pour toi ? quand mon regard croise le tien, le feu vibre un peu plus fort dans le creux de mon ventre. je ne sais ni ce que je veux ni ce dont j’ai besoin mais j’ai décidé que puisque tu étais là, ce serait toi. tu feras très bien l’affaire puisque toi-même tu m'épuises à tenter de me tendre la main.

je vais la prendre, ta main.
et plus encore.

mes poings viennent agripper le col de ton t-shirt. mes coups sont forts et sous la surprise, malgré ta hauteur, tu plies un peu sous le poids de mon intensité. je te fais reculer de un, deux, trois pas avant de me stopper. sur la pointe des pieds, mon visage dans le creux du tiens, je sens ton souffle sur ma peau. cela attise mon feu. mon regard lui, n’a pas quitté tes yeux.

paris a été claire: je n’irai pas au paradis.
alors autant vendre mon âme au diable.

“dévore-moi.”

je te supplie autant que je ne gronde de désir. mes lèvres frôlent les tiennes. je les mords pour t’attirer sans t’offrir de baiser. je veux que ce soit toi qui vienne et que la corde se rompt.
11 août
23h
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[ Sam 14 Sep 2024 - 12:07 ] (soirée de l'été) hit me where it hurts, I'm coming home to lose (castor & pollux)
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l’obscurité n’est pas froide.
c’est lié à la ventilation tempérée de l’Enclave. Le sous-bois offre tout juste assez d’humidité pour que tu prétendes croire au mensonge de Cas. elle a la voix bourrue de certaines personnes émue. ses petites mains étalent ce qu’il reste du maquillage de scène. quand elle sera plus calme, tu lui enlèveras de ce dépôt gris astrale. à l’évidence, c’était une bonne idée d’être ici, enveloppée par quelque choses de plus frais que la tiédeur artificielle : son regard.

tu te tiens accroupis, les talons gémissants, pour ne pas risquer de rompre le courant. elle déteste avec horreur. c’est peut-être parce qu’elle a déclaré forfait il y a longtemps, au système, alors parfois elle se sent mal à l’aise avec son choix. toi, Pollux, tu détestes aussi, et de cette rage ordinaire, tu fais de très beaux rideaux. tu as le droit de caresser la tête du chat bâtard et sauvage, ce qui te réjouit, tu n’as même pas peur qu’elle te morde ou disparaisse. tu as l’impression d’avoir trouvé ce que tu venais chercher.

l’air qu’elle expire est de plomb. elle doit. penser. maudire. rugir. là-dedans. peut-être qu’elle a arrêté de hurler tout haut parce tes phalanges font des petites rigoles entres ses cheveux, sur la peau de son crâne.

tu es restée bien silencieuse. la tranquillité des bois était propice à d’autres confessions que celle de cette liberté auto-proclamées. tu retiens ton rire, réduit à un souffle sous tes narines, spontané pour les mots candides. à tes yeux, Cas est la liberté incarnée, elle trébuche sans cesse mais continue de gonfler telle une voile à la première lueur d’autorité sur vos destins. tes yeux se plissent sur les mains emmêlées, au-dedans ton cœur ronronne, médusées par son audace peinte en désespoir.

elle ne doit pas voir tes joues rougies, toi, désarçonnées par la brutalité des mots et des dents nichées à la frontière des siennes. tu es tour à tour heureuse, suppliciée et triste. tu as pensé l’embrasser ce soir en brodant les perles de la veste. tu as espéré qu’il y aurait assez de temps et que la lune serait à ronde pour laisser cours à une intimité, même brève, entre vous. ce scénario où ses lèvres ont l’odeur de la terre et du seul, une croute qui affadit leur couleur framboise habituelle, et où elle pense à une autre fille en se jetant sur : il te rend malade.

tu recules ses épaules, sans les lâcher, Cas, il lui suffit de courir pour croire que c’est oublier — oublier pas pardonner, la différence compte.

« Arrête ça Cas. C’est cruel. » tu devrais, mais tu ne précises pas, ton orgueil saigne déjà assez. au centre de la boîte de tes bronches, les battements désordonnées qui rappellent les sons de la buanderie sont assez forts pour te gêner pour entendre. tu es obligée d’élever la voix, ce timbre sec et chaud, pour discerner ce que toi-même tu dis. « Je ne suis pas un lot de consolation. » et peut-être que demain elle regrettera. mais les émotions contraires rendent les mots beaucoup moins consistant. il faut se concentrer sur le con pour l’attacher au so, se souvenir que conso ce n’est toujours pas un mot pour poursuivre le chemin laborieux du sens.

« Etre libre. C’est pas faire n’importe quoi. Tu devrais savoir. Parce que t’es tout le temps libre. C’est dans tes yeux. Ta voix. La manière dont tu marches. Ta colère. Ta tristesse. Tu as pas besoin de le prouver à des gens qui sont même pas là. »
11 août
Castor



[/quote]
Castor
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[ Dim 15 Sep 2024 - 15:00 ] (soirée de l'été) hit me where it hurts, I'm coming home to lose (castor & pollux)
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victim of the system, say it isn't so
dans cette nuit d'abandons, sur mes désirs voilés et sur tous mes malheurs.
dans cette fête de trop, sur mes espoirs pris d'assaut et sur mes rêves qui meurent.
dans tes bras trop doux, sur mes mots qui sonnent faux et sur toutes mes erreurs.
je viens d'crasher mon cœur.

j'ai vu le mur au loin mais j'ai préféré foncer. j'ai voulu m'oublier pour libérer mes peines, laisser rugir ma colère et préparer ma chute. je me suis dis que ce jeu en vaudrait la chandelle parce qu'au moins là, j'finirai pas seule. j'ai voulu t'utiliser pour me sentir mieux, sauf que toi tu vaux mieux qu'ça, alors tu me repousse et au début il n'y a que le désarroi. je te regarde et la frustration gronde mais dans tes yeux je m'vois. il y a ce regard triste qui me dit d'arrêter, ce cœur qui bat pour moi et que je suis en train de piétiner. ça me frappe d'un coup que de voir mon reflet: je ne m'y reconnais pas.

je te lâche.

t'as raison, pollux.
je suis la reine des connes.

je recule d'un pas, je suis sonnée parce que le crash est violent et j'ai tout mis dedans. je titube une fois, deux fois, et je me laisse tomber par terre. lui au moins, il ne bouge pas.

"..."

qu'est-ce que je croyais faire ? j'en suis même pas sûre. c'était stupide, c'était pas moi, c'était horrible. t'as raison sur toute la ligne: je suis cruelle. j'allais jouer avec toi comme on a joué avec moi mais même par colère et vengeance je ne veux PAS devenir comme ça.
putain.
c'est pas moi ça.
putain.

tu vas partir hein ? toi aussi tu vas partir et me laisser en plan comme tout le monde avant toi parce que quand on tient enfin à moi je fini toujours par tout gâcher: c'est comme ça.

sauf que tu pars pas.
tu pars pas et tu me parles de liberté.

"pourquoi tu pars pas ?"

pourquoi tu restes auprès de moi ?
tu ne me déteste pas ?
moi je me déteste pour ce que je viens de faire et j'ai tellement honte que je voudrai disparaître.

"je suis désolée." je me met à rire et dans mon rire il y a des larmes. "c'était nul de ma part."

ouais castor, t'as carrément déconné. c'était nul à chier. il y a un silence et les émotions quittent mon corps. je me suis hyper vide comme si toute la colère s'était évaporé au moment où tu m'as repoussé, au moment où j'me suis crashé.

je sors une cigarette de ma poche. j'ai pas l'cœur à fumer autre chose. j'allume le bout dans ce silence. je tire une bouffée de tabac parce que je ne peux pas rester à rien faire et je te tends la clope. tu la prendras si tu voudras mais je te demande quand même:

"... pars pas."

s'il te plaît.
ma voix est brisée mais c'est différent.
là c'est moi qui te le demande, la vraie moi. si tu pars je le comprendrai et je resterai là contre cet arbre encore un peu avant de me relever jusqu'à ma chambre pour partir me coucher et demain, demain on fera comme si rien de tout cela ne s'était passé.
11 août
23h
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[ Sam 21 Sep 2024 - 14:08 ] (soirée de l'été) hit me where it hurts, I'm coming home to lose (castor & pollux)
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Privado

You know you're bright as the morning,
as soft as the rain
Pretty as a vine, as sweet as a grape
Too sweet
Hozier

Castor souffre. Tu étudies ce mélange de honte et de traitrise à soi-même avec l’œil d’une scientifique. Un pas en arrière, les mains punies et serrées entre elles, toutes les expressions (malheureusement) englouties par l’obscurité. Tu ne lui en veux déjà plus. Tu lui as tout pardonné. Tu hésites à lui dire, apeurée, de l’entendre se dédire de cette nuit, puis de toute ta vie.

« Partir » te fait jeter des coups d’œil aux intersections du paysages : dans un arbre il y a un trou, comme un nœud creusé, où de petites créatures trouvent parfois refuges. C’est vrai que tu es bien raide, ça te fait mal dans le bas du dos et derrière les genoux, à cause de l’électricité des baisers que tu viens d’écraser à regret.

Ce n’était pas nul. Ce qui était nul c’était tout le reste. Oui. Tout était nul sauf Cas et son rire mouillé. Déjà, il y avait cette odeur de vase et de pâte à choux cramée, il y avait, bien sûr, tous les personnages secondaires qui s’étaient mêlés très inutilement à ça, il y avait encore ce ciel ni parfaitement noir ni encore nuancé de rose et orange. Tu voudrais continuer à compter le nombre de facteurs extérieurs qui ont salopé la belle démarche, belle attitude de la brune tremblante, dans ta tête.

« Te prends pas la tête. Tout le monde est dopé aux phéromones avec cet atmosphère. En venant, j’en ai vu trois-quatre qui se bécoter en public, comme ça, comme si c’était un nouveau sport au tournoi. » Tu aimerais rajouter que vous êtes sans doute manipuler pour en arriver là. Pour vous moucher dans des amours libidineux plutôt que de questionner tout le reste. Tu ne le fais pas. Ca dirait quoi de toi. Tu inspires en grand la fumée blanche. C’est nauséabond mais c’est un peu de Cas alors tu te dis que tu pourrais t’habituer. Tu finirais par l’apercevoir dans tous les vêtements qui sentent le tabac froid, et ça deviendrait réconfortant quand elle s’efface. « Je ne vais pas partir Cas. Tu sais dans un autre contexte... » Tu te mords l’intérieur des joues, râle, et lèves les bras au ciel en fulminant contre toi-meme. « Rah laisse tomber.. »

Tu ne t’es jamais rapprochée de Cas. Tu as peur que ton corps dise le contraire de ton pitch et qu’après tout devienne trop définitivement compliqué pour jamais être l’amour précieux que tu t’es inventé. Tu préfères la regarder dans l’ombre en te demandant si les larmes ont formés des sillons brillants à ses joues et si la légère faiblesse dans sa voix est une question de honte ou d’émotion.

« Pourquoi tu détestes tout le monde ? et le système ? enfin je veux dire à part parce que la plupart sont des tocards. Et à part parce que le système est l’ennemi du rock. »
11 août
Castor



Castor
Sans étoile
Castor
Avatar : emma (night owls and summer skies) + brigette lundy-paine (irl)
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Poste : horticultrice
Clubs : musique, escrime, volley
Statut : célibataire
Inventaire : son baladeur et sa guitare
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[ Sam 28 Sep 2024 - 11:49 ] (soirée de l'été) hit me where it hurts, I'm coming home to lose (castor & pollux)
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victim of the system, say it isn't so
t'es trop gentille Pollux. je pensais pas dire ça un jour, tu sais. je me suis toujours méfiée de toi parce que c'est comme ça: je me méfie toujours de tout, de tout le monde, parce que c'est plus facile de me soustraire à cette vie que d'affronter autrui. je crois que c'est juste une mauvaise habitude, une déformation qui vient tant de ma personnalité que de ma condition. Paris m'a dit que je faisais partis des rats qui traînent aux sous-sol. alors moi je crois que comme les vermines, j'ai appris à montrer des dents pour ne pas me faire croquer.

tu sais, il paraît que tu m'aimes bien. les avis sont divergents à ton sujet, le mien en premier. Pierrot t'aime bien, Argo aussi, Max te tenait le bénéfice du doute et Tay...  Tay elle doute. mais tout le monde s'accorde sur le fait qu'apparemment, tu me trouves un truc que je saisie pas bien. et moi, je te l'ai dis: je me méfie. je me méfie alors j'ai pas voulu m'ouvrir ni vraiment voir ce que tu cherchais à faire, laisser passer ta lumière. je m'en rends compte maintenant. je peux être la pire des blocardes que t'es quand même là à me trouver des excuses.

ah vraiment.
t'es trop gentille, Pollux.

j'inspire une bouffée de fumée. ça me détends d'un coup. je relève la tête. mes larmes ont séchés. je pense à ta question. "parce que je le trouve hyper débile."  j'hausse les épaules. "le système nous compare les uns aux autres au point d'avoir tout un rang pour nous classifier... l'angoisse. et plutôt que de s'entraider, on nous pousse à rabaisser les autres pour mieux s'élever… franchement c'est naze." et je parle en connaissance de cause. je les vois tous, ces blocards aux regards affables qui me fixent dans les couloirs, qui toisent le revers de mon col, qui me juge sans me connaître parce que pour eux je ne serai jamais assez puisque je n'ai pas d'étoile. la blague c'est qu'ils ne savent rien de moi et n'en saurons jamais rien.

"et ouais, les gens sont des tocards." je souffle la fumée. je reprends tes mots. je parle doucement, ça me donne un air de philosophe torturée "ceux d'en hauts se pensent meilleurs que ceux d'en bas alors qu'ils ne sont pas mieux. si on y réfléchit juste deux minutes, on est tous soumis aux mêmes limites et aux mêmes frontières: les murs du labyrinthe, le train de vie de wicked, les attentes du père. voilà, c'est tout. nous on a pas le choix, eux ils ont l'illusion du choix. je trouve ça pire que tout."

d'être à ce point imbu de soi-même pour être dans le déni comme ça.

"je râle mais tu sais, moi je l'aime bien cette vie dans l'enclave. ça me va bien comme ça. j'ai pas peur de me cogner à la vie." la preuve: je suis toujours par terre. "ce que je n'aime pas, c'est ceux qui veulent me dicter ma manière de vivre alors qu'ils ne sont même pas foutu eux, d'être heureux."

alors que moi, quoi qu'on en pense, je le suis, heureuse.
je suis le poète perdu dans la folie des hommes.
j'ai l'Amour et le Bonheur.
il n'y a rien de plus qui compte.

"enfin bref... à toi maintenant, assez parlé de moi." j'ai bien envie de t'écouter. je me suis un peu trop confiée et tu sais que je n'aime pas être vulnérable dans cette intimité. "pourquoi t'es fâchée comme ça ? parce que c'est métal ?"

je ricane en reprenant tes termes. je suis de nouveau détendue. plus qu'avant, en tout cas. c'est déjà ça. je me sens un peu comme tout à l'heure, à l'arrière de la scène à tanner le cuir avec toi. quand j'avais les épaules larges et la gloire plein les mirettes. je suis contente que tu ne sois pas partie. ma question c'est aussi pour te retenir un peu. si on parle, tu me quitteras moins vite.
11 août
23h
dans la forêt
ft. pollux
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(soirée de l'été) hit me where it hurts, I'm coming home to lose (castor & pollux)
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