amazed

Kafka a récupéré son étoile - et cela ne le surprend pas tant ! Parce que Kafka c’est le profil trop discret pour se permettre de briller encore plus. En même temps, il est trop sage et se plie trop aux règles pour rejoindre ceux qu’on éjecte du système -
Voilà, il a la valeur d’une seule et unique et étoile,
Kafka n’a rien de spécial.

Pourtant Nine apprécie Kafka comme ça !
Et ses vacances aux sous-sol ont pu animer les couloirs par les rires de Nine lorsqu’ils se croisaient - parce que Kafka sursaute, il longe les murs et fais demi-tour au moindre regard échangé ;
Mais il a la mauvaise impression de ne pas avoir assez profité de ta présence, alors il est venu te rendre visite directement à ton étage.

Après le réfectoire, dans les mouvements de foule, comme il aime le faire avec toi - il t'a suivi discrètement. Puis seulement au tournant du couloir, lorsque celui-ci se vide peu à peu, il presse le pas pour te rejoindre - avant que tu ne t’échappes derrière la porte de ta chambre !

“Kafka,”

Vilaine ombre qui glisse dans ton dos,
maudissant ton nom par simple prononciation,
ses paumes se posent contre tes épaules tout près de ta nuque -

“tu ne dis pas au revoir lorsque tu quittes un étage ?”

Il faut remémorer vos temps ensemble ! Ses doigts viennent effleurer ta trachée -
mais seulement pour quelques secondes,
rien d’alarmant de loin,
il vient en ami !

“Alors que je t'ai si gentiment accueilli dans les sous-sols !”

Nine ricane. Il t’accuse d’être méchant avec lui - c’est comme cela que font les enfants dans la cour de récré.
Ce n’est jamais la faute de ceux qui importunent les autres !

“Qu’est-ce qu’il faut dire ? Bravo pour ton étoile ? Ce n’est qu’une seule toute petite étoile pourtant - que tu as perdu à la base en plus - il y a rien d’honorable !”

Il finit par se décaler pour te faire face - ainsi il ne fait rien de mal sous l’angle des caméras.
Nine se montre même, si gentil, qu’il se baisse légèrement pour mieux observer ton visage sans cesse viré vers le sol. Tu tires toujours cette expression misérable qui te donne l’impression d’être au bord des larmes en permanence.
Et cela aussi, le fait ricaner - rien que par ta présence, ses joues sont déjà tant étirées par ses sourires narquois.