a. runb. looking for paradisec. waiting for deathd. eat friends
« Après ma mort, souvenez-vous de moi ; qu’elle vous ait été utile, mais je suis plus que ça ! Je suis plus qu’un outil de votre survie, je suis un être humain ! Chaque morceau de moi que vous mâchez est imprégné de mon essence, de mes souvenirs, de mes joies et de mes peines. Rappelez-vous de moi et de qui j’étais. Même disparu, je laisse derrière moi une empreinte, un rappel de ce que signifie être vivant. »
kafka et rex ont pu bond ensemble sur les larves... #chelou un peu non ???? petite pensée à leurs love interests
alb a demandé à sortir avec coco alors qu'il sortait déjà avec jozie ??? mystère à suivre ah et niveau trouple ça y va.... love, dani et nine sont ensemble!!!
Avatar : marie-josèphe sanson (innocent rouge) (cr:caïn,abyss) Âge : 26 Poste : grande soeur PHY Clubs : escrime - boxe - théâtre - sciences Statut : célibataire Inventaire : - Pronoms : elle Multicomptes : jude, rex Pouvoir : décapitation Gif :
[ Jeu 29 Aoû 2024 - 16:09 ] lust for a vampyr, vadim
LUST FOR A VAMPYR
feat. Vadim
i've been working the whole day long getting older while you stay young
Les secrets égarent les âmes, tissent des ombres sur les parois immaculées du cœur sincère. Je frémis à l'idée que tu puisses imaginer, même un instant, dissimuler quoi que ce soit à mon regard. Nous ne sommes pas faits pour ces péchés qui entachent. Ni toi, ni moi, n'avons été forgés pour porter le fardeau de la trahison. Notre lien est d’ivoire, trop précieux pour se voir entaché par de tels voiles obscurs. Rien ni personne ne viendra se dresser entre nos destinées, c’est une certitude à laquelle je m'accroche. En ce jour naissant, je fais de toi ma quête ultime, la seule qui mérite que je lui consacre mon précieux temps.
Le lever ne diffère guère des précédents, empreint de cette même sérénité familière. Le sommeil a été suffisant, juste assez pour que la fatigue ne s'attarde pas — cinq cycles de quatre-vingt-dix minutes pour un repos adéquat. Lorsque le réveil émerge avant moi, je le laisse m'appeler trois fois, exactement, avant de me redresser, les mains sur le matelas et le regard perdu dans l'infini du décor. Même dorée, cette cage suscite l’admiration. Je médite, car il est essentiel d'éveiller l'esprit dès l'aube, de laisser les pensées se déployer comme une fleur qui s'ouvre aux premiers rayons de lumière. Ainsi, mes idées s'organisent, tracent les chemins de ma journée, tissent un fil conducteur pour administrer chaque instant avec la plus grande efficacité. Et puis, il y a toi. Comme une douce habitude, tu te glisses dans mes réflexions matinales, et je me demande comment tu vas, si ton cœur est en paix. Habituellement, je trouve un moyen de t'intégrer dans mes routines, un moment souvent volé lors des repas partagés. Mais aujourd'hui, l'attente me semble insupportable alors je décide de faire de toi mon premier plaisir.
Les vêtements ajustés, les cheveux parfumés et soigneusement coiffés, je me dirige vers ton étage. Il me faut dissimuler mon impatience, mais mon cœur s’accélère alors que j’esquive habilement ceux qui tentent de me retenir en chemin. Devant ta porte, je frappe trois coups, rythmés comme le carillon du matin. Ouvre. C’est Paris.
by delirium
Vadim
Deux étoiles ★★
Avatar : reinhard - logh (cred. me, eden, Abyss)
Âge : 21
Poste : coiffeur
Clubs : tennis, dessin, théâtre
Statut : en "couple" avec Eden (+ Askhat)
Inventaire : -
Pronoms : il
Multicomptes : caïn & heya
Pouvoir : vision de l'âme
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Avatar : reinhard - logh (cred. me, eden, Abyss) Âge : 21 Poste : coiffeur Clubs : tennis, dessin, théâtre Statut : en "couple" avec Eden (+ Askhat) Inventaire : - Pronoms : il Multicomptes : caïn & heya Pouvoir : vision de l'âme Gif :
[ Jeu 29 Aoû 2024 - 19:56 ] lust for a vampyr, vadim
Lust for a vampyr
je me suis bien amusé hier. Eden et moi étions l’incarnation parfaite de notre mythe, nous avons su briser la scène de tout notre talent et dans toute notre splendeur. comme à ma grande habitude, je fus occupé avec toutes et tous, des félicitations m’ont été rapportées et je ne me cache pas d’un brin de fierté que j’éprouve désormais. que nous formons un couple intelligents, elle et moi.
je sais maintenant Paris clémente sur ma situation et curieuse sur celle concernant Eden. je sais qu’elle a demandé — à moi elle n’ordonne pas — à me voir aujourd’hui, alors je suis prêt à l’accueillir. mes draps ne sont pas aussi dorés que les siens mais entre elle et moi, la jalousie n’a pas sa place.
j’ai dressé ma routine du matin en avance aujourd’hui, je me suis levé avant l’entente de la Voix et j’ai tout préparé avec un millimètre d’avance sur mes habitudes. c’est à la seconde où je m’assois, prêt à accueillir Paris, qu’elle me fait signe de son arrivée en mes lieux. entre ! je crie, c’est déjà ouvert ! je ne daigne pas me lever de mon lit sur lequel je suis allongé de tout mon long sur le flanc. après avoir incarné une sculpture la veille, je suis dessiné comme ces peintures que l’on expose au musée, c’est ainsi qu’elle me trouvera en mettant pied dans mon humble espace. fais comme chez toi. enfin... je ne sais pas pourquoi je joue les obséquieux avec toi. je la suis du regard, la laissant s’installer là où elle le désire. j’imagine que tu es venue me parler de la soirée. je la regarde à travers mes cils blonds. qu’est-ce que tu désires savoir au juste ?
Avatar : marie-josèphe sanson (innocent rouge) (cr:caïn,abyss) Âge : 26 Poste : grande soeur PHY Clubs : escrime - boxe - théâtre - sciences Statut : célibataire Inventaire : - Pronoms : elle Multicomptes : jude, rex Pouvoir : décapitation Gif :
[ Sam 7 Sep 2024 - 23:42 ] lust for a vampyr, vadim
LUST FOR A VAMPYR
feat. Vadim
i've been working the whole day long getting older while you stay young
Je me sens bien chez moi, au club de théâtre. Et toi, Vadim, qui ne te détaches jamais de tes personnages, tu rends alors nécessaire ma présence à tes côtés. Dès que je franchis le seuil de ta chambre, une douce intimité m’enveloppe, et la lumière te magnifie, étendu en maître, tel un pacha au cœur de tes draps. Ici, point de velours ni de soie précieuse, mais tu n’as nul besoin de ces artifices pour ennoblir l’espace. Ta seule présence sublime le tout. Il n’y a qu’une seule pièce maîtresse dans ce décor, et elle porte invariablement ton nom. Je te salue d’un sourire complice et d’un geste léger, avant de refermer doucement la porte, comme pour préserver cet écrin de calme. Il est encore tôt, la journée s’ouvre sous d’heureux auspices. Ta présence m’enseigne la sérénité, une joie tranquille. Mais je nous connais trop bien, Vadim : tout comme nous excellons dans les jeux de l’amour, nous sommes également habiles dans ceux de la discorde.
Il y a, près de ton lit, une chaise où je viens m’asseoir. De là, j’observe les lieux, scrute attentivement ce qui a changé depuis ma dernière venue, et ce qui, au contraire, demeure immuable. Assise, les jambes écartées, les coudes appuyés sur mes genoux, je te parle tout bas, comme si chaque mot portait la gravité d’une confession murmurée dans le secret de ta demeure. Tu es amoureux d’Eden ? Prononcer l’indicible, mettre en mots ce que mon esprit refuse de concevoir, se révèle être un exercice plus ardu que je ne l’aurais imaginé. Ces paroles, pourtant simples, laissent sur ma langue un goût âpre, comme du sable que je m’efforce de chasser, en vain. Elles portent en elles une amertume que je voudrais éradiquer au plus vite. Mais il y a autre chose, plus profond, tapi au fond de moi, qui m’étreint de l’intérieur. Ce sentiment… je crois qu'il ressemble à de la crainte, mais ce n’est pas exactement cela. Tu sais bien que je n’ai jamais eu peur de toi, Vadim. Non, c’est autre chose, une sensation plus sourde, plus dérangeante, insaisissable. Et comme un malheur ne vient jamais seul, la frustration grandit en moi, nourrie par l’incapacité de nommer ce trouble. L’attente de ta réponse se fait presque douloureuse, non pas parce que j’appréhende ta personne, mais parce que je redoute ce que tes mots pourraient m’apporter. Qu’est-ce que l’amour, sinon le don absolu de soi à l’autre ? Et moi, je ne veux pas que tu t'offres à une autre — je ne veux pas que tu appartiennes à quiconque que moi, Paris.