a. runb. looking for paradisec. waiting for deathd. eat friends
« Après ma mort, souvenez-vous de moi ; qu’elle vous ait été utile, mais je suis plus que ça ! Je suis plus qu’un outil de votre survie, je suis un être humain ! Chaque morceau de moi que vous mâchez est imprégné de mon essence, de mes souvenirs, de mes joies et de mes peines. Rappelez-vous de moi et de qui j’étais. Même disparu, je laisse derrière moi une empreinte, un rappel de ce que signifie être vivant. »
kafka et rex ont pu bond ensemble sur les larves... #chelou un peu non ???? petite pensée à leurs love interests
alb a demandé à sortir avec coco alors qu'il sortait déjà avec jozie ??? mystère à suivre ah et niveau trouple ça y va.... love, dani et nine sont ensemble!!!
c’est dit avec une mine satisfaite — n’en déplaisent à tous tes airs déçus qui d’ordinaire ornent ton visage chaque matin, chaque midi, chaque soir.
tu accueilles l’enfant prodigue en tapant des mains (c’est un peu austère venant de toi mais l’effort mérite d’être souligné), invitant la demoiselle à rentrer dans ton bureau. tu la guides d’une main aimable vers le meuble qui fait face à ton siège, il est orné de petits gâteaux emballés qu'elle n'a probablement jamais vu à ses repas de deux étoiles.
« je ne t’embête pas longtemps, tu dois avoir hâte de découvrir ta nouvelle chambre, mais je tenais à m’excuser de ne pas avoir cru en toi. tu vas découvrir un monde merveilleux, qui pourrait l’être encore plus. être premium est à portée de main à présent, n’est ce pas ? sers toi, je t'en prie ; ce sont des sucreries. j’ignorai comment te féliciter proprement. dis moi plutôt ce qui pourrait te faire plaisir ? »
Son cœur bat à toute vitesse, les boum boum résonnent dans ses oreilles, l'isolant presque des sons du monde extérieur depuis qu'elle a quitté le confessionnal. Mielle ne sait pas si c'est le temps passé avec le Père Suprême, une nouvelle inattendue et heureuse, ou bien la récompense qui lui a été attribuée qui provoque cette agitation. Cela faisait si longtemps qu'elle attendait d'être de nouveau convoquée, et elle n'a pas encore pleinement réalisé que cette étoile tant convoitée, fruit de son travail acharné, la rapproche, en théorie, du statut de grande-sœur si Paris venait à vaciller.
Son visage est empourpré, un sourire éternel éclaire son visage alors qu'elle retourne vers le bureau principal. Elle a l'impression de refaire le même chemin que ce matin, elle qui s'était dépêchée après avoir reçu la notification, décidée à camper jusqu'à quinze heures. Sa mâchoire lui fait mal, tendue par un plaisir évident. Merci beaucoup, Remy ! Mielle est enjouée, heureuse de revoir son patriarche malgré les paroles légères qu'il lui avait offertes lorsqu'elle était venue chercher son aide.
Elle avance presque en sautillant vers le siège qui lui est désigné et s'y installe. Mielle n'est pas attirée par le matériel, contrairement à d'autres, et pour elle, un changement de chambre n'est qu'un détail. Pourtant, elle se dit que cela plairait à Nine lorsqu'il viendrait chez elle pour passer du temps ensemble—même si elle ne réalise pas encore qu'après l'avoir dénoncé deux fois en un an, il pourrait ne plus jamais vouloir la revoir. N'ai-je pas aussi plus de chances de prétendre au titre de grande-sœur dans les temps à venir ? Son regard brille d'espoir, elle souhaite tant rendre le Père Suprême fier, jusqu’à ce qu’il n’ait que son prénom sur ses lèvres. Mielle mériterait d'être susurré par cette voix si parfaite.
Ce qui pourrait me faire plaisir ? Elle pense à l'invitation du Père Suprême à la soirée du lendemain, une invitation qu'il avait dû refuser, bien que Mielle sait que Remy ne peut rien y changer. Le Père Suprême s'était excusé, et elle avait compris que les circonstances étaient plus complexes qu'elle ne l'avait imaginé. Son hésitation est palpable, autant dans ses mots que dans ses gestes. Les sucreries devant elle l'attirent toutes, mais elle ne veut pas paraître trop gourmande. J'aurais bien quelque chose, mais... je ne sais pas si c'est vraiment possible. Elle finit par prendre le gâteau le plus proche et le savoure de petites bouchées. Est-ce que tu sais si il existerait un genre de pass pour le Social Club ? Un pass qui me permettrait d'amener quelqu'un avec moi au cinéma ou au Laser Game, sans qu'il n'ait jamais à payer ? Son hésitation transparaît dans chacune de ses syllabes. Elle venait de rater sa coche.
Remy
Patriarche des PHY ✹
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Âge : 36 ANS
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« supplier ne mène à rien mielle, seuls les actes ont des conséquences. la preuve aujourd’hui. » simple correction, tu saisis alors sur le bureau l’une des friandises que tu lui avais gardé ; imageant qu’ici on donne et on reprend aussi facilement. « bien sûr mielle, c’est assez accessible en réalité. il suffit que tu payes pour ce quelqu’un. si tu veux davantades de promotions tickets... dénonce plus ? » tu fronces un sourcil quand l’autre se hausse, ne comprenant pas totalement les désirs simples de la jeune fille. « tu es gourmande, tu sais ? je pensais te faire plaisir en te proposant quelque chose de matériel mais tu penses déjà à privilégier quelqu’un d’autre. qui est-ce, dis moi ? »
c’est le rôle d’un parent que de tout savoir sur ses enfants.
« tu peux prendre tout ce qu’il y a sur la table. » tu regroupes les bonbons dans un tas devant elle.
Mielle secoue maladroitement la tête de gauche à droite avant de replacer les mèches de cheveux tombées derrière ses oreilles. Pardon, Remy, ce n’était pas une supplication, mais plutôt une confirmation verbale. Mon gain d’étoile me rapproche autant du premium que du poste, si je continue sur cette voie, non ? Elle croise les pieds, signe de son inconfort. Mielle avait besoin de l'approbation des autres - si elle ne pouvait l'obtenir du Père Suprême, celle de son patriarche lui suffisait. Je ne prends rien pour acquis, mais je me disais que… ça pourrait finir par arriver. Et elle s’en voulait à la manière dont Remy avait réagi car malgré sa facilité sociale, elle avait toujours du mal à rebondir sur les remarques -souvent acerbes- du parent.
Mielle acquiesce, laissant s'installer un léger silence. À cet instant, elle n’avait qu'une envie : s’écraser dans son siège, disparaître. Cela faisait sens qu’elle paie pour ses camarades dans le besoin, car il lui arrivait déjà de le faire par moment. Mais Mielle avait essayé, du bout des doigts, de frôler un confort partagé plutôt qu’individuel. C’est que je ne vois rien d’autre… J’ai l’impression d’avoir tout ce dont j’ai besoin, d’un point de vue strictement matériel. Je n’ai pas encore vu ma nouvelle chambre, mais je sais que plein de nouvelles choses sont mises à notre disposition alors… Il n’y a personne en particulier, je me disais juste que ça pourrait faire plaisir à certains de mes amis de pouvoir, de temps en temps, profiter du Social Club sans avoir à penser à leur dépense. Son regard se pose sur les friandises que Remy présente.
Est-ce être trop gourmande, que de penser aux autres ? Je veux dire, si je préfère en laisser quelques-uns au cas où l’un de mes camarades de maison venait, lui aussi, à gagner une étoile dans les prochains jours. Mielle laisse le silence s’installer, levant finalement les yeux. Pourquoi est-ce que c’est mal ? Elle avait l’impression qu’il lui en voulait, et cela la troublait profondément.
Remy
Patriarche des PHY ✹
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Âge : 36 ANS
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mielle soufre d’opinions factices. coupable de tout, sinon de rien. le moindre de tes mots est une accusation : plus tu lui parles, plus tu essayes toi-même d’apprendre. mais était-ce entièrement de ta faute ? « ça pourrait. et tu dois faire en sorte que ça arrive. c’est ton travail ; et nous l’observons tous les jours. tu es sur la bonne voie, félicite toi pour cette ascension c’est un pas de plus vers ton rêve. tu as tous mes encouragements. »
tu manges le bonbon dont tu t’étais saisi, ne lâchant pas la jeune blocarde du regard. tu avais du mal à la dissocier de ce garçon en quête de bien que tu étais, et pourtant, une terreur tout à fait différente vous rendait… profondément incomparables. tout résidait sur… l’individualisme pour ta part, le collectivisme pour la sienne. quelle bonne fille faisait-elle. quel démon étais tu devenu.
« ça l’est. prends ces bonbons, mielle. tu dois te détendre… je t’en donne une dizaine, tu crois que je n’ai que ça. il y a en réalité quelques paquets dans le bureau encore. nous nous occupons de vous, tu n’as pas à t’occuper des autres. alors donnes toi les moyens, nous serons toujours là pour ramasser les morceaux. » détruis mielle, reconstruis-toi. « et c’est mal car… qui penses à toi ? » hormis l’autorité.
« tu peux réfléchir à quelque chose qui te ferait plaisir, et m’en parler d’ici la semaine prochaine. ça te va comme ça ? »
Son malaise s’évanouit progressivement. Bien que Remy n’occupe pas la même place dans son cœur que le Père Suprême ou certains de ses amis chers, Mielle ressent toujours ce besoin d’être bien vue par son patriarche. Les encouragements de Remy sont difficiles à obtenir, surtout quand elle repense à son passé. Des mots simples, peut-être sans grande importance pour lui, mais que Mielle chérira profondément au fil des jours. Oui ! Sa réponse est vibrante de vie, marquée d’une profondeur. Mielle sait qu'elle doit continuer à progresser, encore et encore, jusqu'à pouvoir se tenir fièrement aux côtés du Père Suprême. Elle ne souhaite aucun raccourci, mais plutôt un chemin façonné par un travail authentique et acharné. Alors, elle persévérera sur cette voie, car elle se sent enfin légitime pour cela.
Abyss et Nine pensent à moi. Et Pensée aussi, non ? C’est du moins ce qu’elle ressentait. Ils n’étaient pas les seuls, seulement parmi les plus importants - mais jusqu'à quand exactement ? Et puis, bien sûr, il y a les Parents, et le Père Suprême. Elle prend un bonbon, avalé tout rond. Elle rit brièvement avant de redevenir sérieuse. Mais j’imagine que ce n’est pas suffisant ? Autrement, elle ne comprenait toujours pas en quoi cela pouvait lui nuire. Car si Mielle devait se sacrifier pour le bonheur d’une patrie entière, n’est-ce-pas un moindre mal ?
Je peux y réfléchir, oui. On peut faire comme ça. Son hésitation est palpable. Mielle chérit l'offre de Remy, mais elle peine à imaginer ce qu’elle pourrait réellement désirer. Elle sait que, parmi les blocards, la récompense la plus prisée est souvent celle d’un animal de compagnie. Bien qu’elle aime les animaux, Mielle ne se sent pas encore prête pour une telle responsabilité : mais elle ignore jusqu’où la proposition peut s’étendre, et craint le jugement que pourrait exprimer son patriarche.
Remy
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mielle annonce des noms, et tu tais ton opinion. quand elle évoque les plus hautes instances, tu approuves d’un hochement de tête ; et quand elle s’inquiète, tu hausses des épaules. ils peuvent être deux ou cent, mielle. tu aimerais le lui dire — ils ne valent rien si elle ne pense pas à elle soi-même.
mais tu sais ton verbe agressif, tes paroles trop sèches, ton ton amer. tu sais que mielle pourrait n’y entendre qu’un reproche, toi qui crois pleurer des conseils. tu te tais ; à défaut de mal s’exprimer il vaut mieux ne pas s’exprimer du tout.
tu te lèves, rejoignant la porte pour l’inviter à prendre congé de toi. « ne te tracasse pas trop, ce n’est pas grave si tu n’as pas d’idée. tout vient à point à qui sait attendre, raconte-t-on ; laisse faire le temps. tu seras toujours la bienvenue, à toute heure. file donc découvrir ton nouveau monde, je ne t’embête pas plus. »