into the maze
a. runb. looking for paradisec. waiting for deathd. eat friends
« Après ma mort, souvenez-vous de moi ; qu’elle vous ait été utile, mais je suis plus que ça ! Je suis plus qu’un outil de votre survie, je suis un être humain ! Chaque morceau de moi que vous mâchez est imprégné de mon essence, de mes souvenirs, de mes joies et de mes peines. Rappelez-vous de moi et de qui j’étais. Même disparu, je laisse derrière moi une empreinte, un rappel de ce que signifie être vivant. »
will you listen, my child ?
kafka et rex ont pu bond ensemble sur les larves... #chelou un peu non ???? petite pensée à leurs love interests
alb a demandé à sortir avec coco alors qu'il sortait déjà avec jozie ??? mystère à suivre
ah et niveau trouple ça y va.... love, dani et nine sont ensemble!!!
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i'll worship like a dog at the shrine of your lies, grell
2 participants
Jude
Deux étoiles ★★
Jude
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[ Lun 30 Sep 2024 - 17:41 ] i'll worship like a dog at the shrine of your lies, grell
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I'LL WORSHIP LIKE A DOG AT THE SHRINE OF YOUR LIES

feat. Grell
bad things happen to the people you love
and you find yourself praying up to Heaven above
rejoins-moi dehors, sur la place.

face à Grell, il n'est rien d'autre qu'un animal domestiqué à la perfection, docile et obéissant au moindre commandement. il agit non par volonté propre, mais mû par des automatismes profondément ancrés, par cette irrépressible nécessité de plaire, de se soumettre à l'autorité sacrée du maître. ce qu’il cherche, c'est la lueur dans les yeux de ce dernier, cette étincelle que seule l'extase du Parent, magnanime et aveugle à toutes les faiblesses, peut allumer lorsqu'il contemple son enfant, chéri malgré ses défauts et ses fautes. c’est bien ce que Jude désire — qu’on l’aime. alors il se précipite, de tout son être, ignore la douleur lancinante de sa jambe blessée, néglige même de fermer la porte derrière lui ou de se couvrir.
sur le chemin, il martèle son discours, encore et encore, un refrain obsédant : il doit s’excuser, il va s’excuser, se prépare à supplier, à implorer pardon, se haïr comme il se doit. c’est bien normal, après tout, il a fait du mal à sa Mère. Jude est un mauvais fils, et cette certitude le ronge. le voilà qui se flagelle tandis que les platanes bordent son passage. les derniers rayons du soleil, presque timides, hésitent à troubler ce moment de pénitence, éclairent son visage tendu en une contre-plongée quasi sacrée. ses lèvres murmurent des prières paniquées, mi-voix d'un coupable se préparant à gravir les marches de l'échafaud. oui, car c'est ainsi qu'il se voit : non pas dans l'instant fugitif précédant la mort, mais dans ces longues heures d'agonie réservées aux condamnés, là où chaque seconde s'écoule lourdement, implacable. la sentence est tombée et le sablier se renverse irrémédiablement. l’esprit, alors, s’éparpille dans l'infini des possibles, perdu entre l’espoir déraisonné d’un miracle et la fatale certitude de l’inévitable. que la vie est cruelle, songe-t-il. que la vie est mal faite !

Jude atteint la grande place, haletant, le souffle court comme une flamme vacillante. depuis toujours, il a été le plus faible du troupeau de la terrible Mère Grell, et ce fardeau, il l’a porté avec honte. sa jambe le tiraille déjà, chaque pas l’alourdit davantage, le cloue au sol comme un présage macabre. mais peu lui importe, son esprit est tout entier absorbé par la quête du regard du Parent. pour elle, il essuierait n’importe quelle souffrance. il réalise soudain que cette ténacité a sans doute tissé le lien qui les unit depuis toutes ces années : Jude n’a jamais été fort, c’est vrai, mais il résiste, inébranlable, il est l'oyat qui ploie sous la tramontane sans jamais rompre. c’est cette même obstination qui l’a lié à Caïn, et c’est probablement cette corde invisible qui continuera à le maintenir à lui, contre toute raison.
là-bas, sur le banc au loin, celui de leur premier véritable échange, il l’aperçoit enfin. Grell. même assise, elle est colossale, une statue de granite dont l'ombre s’étire infiniment à ses pieds, couvre le monde de son austère majesté. Jude s'avance, voudrait que son pas soit assuré, résolu. les chemins autour se vident doucement — l’heure du dîner approche. Grell, quant à elle, demeure immobile, indifférente au passage du temps.
il se tient derrière elle maintenant, maladroit, tente de redresser son dos meurtri par les heures passées penché sur ses machines. ses mouvements trahissent sa gêne, alors qu’il replace d’un geste hâtif la mèche rebelle qui s'abat lourdement sur son front. dans la poche de son pantalon, ses doigts triturent nerveusement un stylo à ressort pour conjurer l’anxiété qui le ronge. il se raconte une histoire pour calmer son esprit : si le stylo est rouge, Grell lui pardonnera ; s’il est noir, elle s’en ira. une magie d'enfant. je suis venu aussi vite que j’ai pu. le glas sonne et les mots s’échappent dans un souffle étouffé par l’appréhension. les voilà, ces secondes avant la fin ! Jude a encore le gout du chocolat sur la couture de ses lèvres. il détourne le regard, incapable de soutenir le vide. et elle, elle ne bouge pas, lui tourne toujours le dos, monolithique. s’il te plait, dis quelque chose. le voilà déjà à genoux.
by delirium






Grell
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Grell
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[ Mer 2 Oct 2024 - 23:56 ] i'll worship like a dog at the shrine of your lies, grell
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i'll worship like a dog
at the shrine of your lies

Si Jude est un animal régi par la peur qui l’a rendu docile, Grell n’est en rien différent, si ce n’est que sa peur à lui vient de plus haut et que sa crainte n’est plus visible. C’est l’attitude que prend le vieux bétail face au bâton, le cuir durci par les coups, qui avancent tranquille mais le cœur lourd et mutilé ; tandis que les plus jeunes, pleins de vigueur et farouches, peuvent encore se permettre de le fuir. Et Grell est là pour que jamais ils n’arrêtent de courir ; se fera pousser cornes crocs et griffes avec lesquels elle plantera genoux jarrets et flancs pour que les bêtes, ivres de douleur, tirent toujours sur leurs chaînes ; teintera la laine d’un sang d’effroi pour qu’ils puissent échapper à une mort terrible. Elle convient au moins que ce rôle lui sied bien et l’endossera mille fois si cela signifie qu’ils puissent vivre. Grell n’en a jamais assez de sacrifice ; si on l’a fait grand, c'est pour avoir plus à offrir. Il doit bien lui rester quelques chais encore exemptes de plaie.

Le bruit de la fontaine ne lui a jamais paru si dérangeant et le banc jamais aussi froid à travers les pans de sa longue robe. Il sent la pierre s’incruster contre sa peau mais ce n’est pas assez ; il aimerait que celle-ci le coupe pour se flageller en silence et se vider lentement de sa culpabilité meurtrière. Il sent aussi battre le cœur de l’impur dans sa carcasse insatiable où fermente la lésine, auquel se mêle ensuite la litanie des sabots de l’agneau sur le granit ; Jude est là. Ses mains ne tiennent aucun brin de bruyère pour Caïn. Sa peine ne lui est pas réservée. Il les dissimule dans ses poches à défaut de pouvoir s’y cacher.

Grell ne répond pas tout de suite. Elle a ce plaisir un peu coupable de faire durer son supplice dans un silence imparable. Juste un peu. Ce n’est pas grand chose en échange de ce qui attend Caïn et il lui est difficile de ne pas en vouloir à celui qui l’a trahi. Mais par-dessus tout, c’est au Père qu’elle en veut. Ah, si seulement il savait aimer ses enfants ! Si seulement elle avait été à sa place. Sans un regard, elle pose sa grande main sur l’autre moitié du banc pour l’inviter à s'asseoir, la tête toujours inclinée vers le sol comme pour y écouter les roses germer. Elle a l’immobilité morne des Mères sous les voiles funéraires.

Elle brise enfin sa réticence. C’est la corde qui lâche et le couperet qui tombe. Tu te sens mieux ? Son œil l’ignore toujours ; Grell ne lui offre que la vue de son côté borgne à moitié éclipsé par ses cheveux. Elle ne précise pas davantage le sens de ses mots –qu’elle trouve déjà lourd– pour le mettre en face de sa culpabilité qui se devine déjà aux plis de son corps. Est-ce que tu regrettes, Jude ? La mère veut lui poser la question mais ne doit pas dévoiler ses secrets. Plus que ses enfants, elle souhaite se protéger elle-même. Elle a déjà tout donné, son ventre en premier, pour pouvoir les couver. De quoi as-tu peur ? Sa nature est implacable et son dédain superbe. Sans te regarder, elle voit ; une distorsion dans ta gorge des prières murmurées tout bas ; ta pâleur extrême de perle morte ; le frisson léger de tes mains comme un saule qui tremble. Dis moi tes craintes, je n’en ferai rien. Tu es mon fils aussi.

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Jude
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Jude
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[ Mar 8 Oct 2024 - 13:40 ] i'll worship like a dog at the shrine of your lies, grell
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Le banc s'est fendu de quelques cicatrices depuis leur dernière rencontre à cet endroit. Devant eux, le parterre de fleurs a changé — Jude se rappelle des amaryllis vibrantes et du velouté apaisant des achillées. Elles ont disparu. Un sourire fugace traverse son esprit. Avec elles, c'est l'éclat hémoglobine de leurs pétales qui s'est envolé, ne laissant derrière elles que de nouveaux frères : des lys à la blancheur immaculée entourant des rosiers encore en sommeil, qui n'ont pas offert leurs fleurs à ce monde. Une ironie mordante s'impose à lui : il refuse que cette pureté apparente devienne le reflet de ses actes. Il ne se sent ni plus absolu, ni moins coupable qu’autrefois — seules les raisons ont changées. Cette pensée le tourmente. Que doit-il faire pour briser cette emprise ? Son ventre se tord sous le poids d’une angoisse dévorante, celle qui, il le sait, se muera plus tard en rancœur contre celui qu'il a osé aimer.

À la demande de sa mère, Jude s’assoit, lourd de présages. Il se prépare à l’orage, à des mots acérés qui le réduiraient en éclats, comme une statue de pierre pulvérisée, dont les fragments se disperseraient dans les buissons, pour nourrir les fleurs et leur rappeler éternellement la mort qui l’accompagne, malgré lui. La voix de Grell est la seule ancre qui trahit sa présence. Jude, figé, n’ose lever les yeux vers lui. Le poids de la honte l’écrase, et il met quelques instants à comprendre qu’on attend de lui une réponse. Alors, il murmure, hésitant, des mots en lambeaux : oui. Non - Je crois… Il inspire profondément, cherche à rassembler ses pensées éparses. Je sais pas. Ça dépend ce que tu entends par là. Mais… Je me sens mieux de pouvoir te parler de vive voix. Enfin, Jude sent qu’il parvient à défendre quelque chose, à s’affirmer, même si faiblement. Aux côtés de Grell, il n’a pas l’impression qu’on lui vole sa volonté. Ils sont deux, là, unis dans un silence empreint d’hérédité. Jude se délecte presque de ce lien invisible qui les tient — ce poids d’être un fils, il le porterait jusqu’au déclin du monde. Pour cela, il se découvre une force inébranlable.

J'avais peur de te décevoir, mais je crois que c'est déjà fait. Je suis désolé, vraiment. Ce qui m'effraie le plus maintenant, c'est de te perdre, que tu ne veuilles plus jamais me parler.
J'ai peur que tu ressentes pour moi le même dégoût que j'éprouve envers ma personne. Peur de t’avoir révélé le miroir déformé de ce que je suis devenu à mes propres yeux. Plutôt rester la brebis galeuse de tes enfants que de me draper dans les rôles que je me suis inventés. Peu importe ce que tu as vu en moi pendant tout ce temps, cela me suffisait. J'ai peur d'être seul. Dis-moi si tu préfères m'éviter à partir de maintenant. Je crois… Je crois que je préfère être rapidement fixé sur ça. Il hésite, soudainement conscient de l'interlocutrice qui l'écoute. Mais... je ne sais pas si je pourrais l’accepter. Je trouverai un moyen de me faire pardonner.
Jude s’est depuis longtemps habitué au dédain de Caïn, à ses paroles tranchantes et à ses absences constantes. Il a fait de cet amour une ombre lointaine. Mais Grell... Grell est différente. Il ne peut supporter l’idée du deuil de sa présence. Jude a été témoin, impuissant, des conséquences du meurtre symbolique du frère ; il se refuse à être complice d'un matricide, même dans les silences fermés des allégories de son cœur.
by delirium






Grell
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[ Mer 9 Oct 2024 - 23:43 ] i'll worship like a dog at the shrine of your lies, grell
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Des années ont passé mais la pierre, elle, reste éternelle. Sa grande main vient se poser sur le granit qui semble avoir moins subi les hostilités du temps que les hommes ici mais qui n’en souffre pas moins pour autant. Il se souvient parfaitement du jour où ils se sont retrouvés là tous les deux, un peu par hasard. Du moins, c'est que ce doit continuer de croire Jude, que la Mère ne sait rien, qu’elle l’a juste trouvé là, sur ce banc qui a vu naître leur lien et qui pourrait bien devenir sa sépulture aujourd’hui. C’est un lien scellé par la pierre. Peu importe ce qu’il se passe, Grell, lui, viendra toujours s’y recueillir, quand bien même il n’en reste que des débris. C’est assez d’un tombeau, je ne veux pas d’un monde fait de regrets inutiles entre nous. Est-ce que les gravats à leurs pieds ont été un jour aussi des cœurs et des êtres aimés ?

Grell fredonne pour acquiescer, pour dire moi aussi je me sens mieux de pouvoir te parler et te tenir à mes côtés. Viendra un jour où on t'enlèvera aussi, comme beaucoup d’autres avant toi et encore plus après. Et Grell, à force, n’a plus de larmes pour les pleurer. Il ne se permet plus non plus d’être triste ; le deuil ne prend forme que dans des foyers vides. Je ne compte pas te cacher ma déception. Sa voix claire s’élève, peut-être plus fort qu’il ne le souhaite. Plus que la déception, c’est l’angoisse invisible qui le fait faillir et il se gifle intérieurement pour laisser ses émotions prendre le dessus. Même si je voulais t’éviter, c’est encore moi qui change vos draps et vous fait à manger. Et alors, ça n’aurait pas de sens.

La Mère se tourne pour la première fois vers son enfant. Son unique œil, ombragé par un sourcil épais, l’étudie pendant un long moment comme s’il pouvait voir au travers. Grell constate combien Jude a changé depuis la première fois qu’ils se sont assis sur ce banc. Bien sûr, il a vieilli ; ses joues se sont creusées, quelques cheveux se sont grimés de blanc, ses yeux ont perdu de leur éclat et son corps en mobilité. Elle se souvient de cette blessure qu’elle a pansé. Instinctivement, ses paumes viennent entourer son visage qu’elles recouvrent à moitié. Mon temps passé avec vous est déjà bien assez court pour me permettre de le gâcher. Ses pouces retracent lentement les auréoles pourpres sous ses yeux avant de le libérer brusquement de l'étreinte maternelle dans un rejet silencieux.

Mais quand même, il aimerait savoir Comment tu t’y prendrais ? Son culte s’éteint et son amour s’irrite et réclame ; vas-tu me rendre ce fils que tu m’as pris ? Et ramper sur la pente de tes maigres genoux ? Et si tu pleures, que ce soit en silence ! À moi, personne n’a jamais voulu entendre mes plaintes.

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