a. runb. looking for paradisec. waiting for deathd. eat friends
« Après ma mort, souvenez-vous de moi ; qu’elle vous ait été utile, mais je suis plus que ça ! Je suis plus qu’un outil de votre survie, je suis un être humain ! Chaque morceau de moi que vous mâchez est imprégné de mon essence, de mes souvenirs, de mes joies et de mes peines. Rappelez-vous de moi et de qui j’étais. Même disparu, je laisse derrière moi une empreinte, un rappel de ce que signifie être vivant. »
kafka et rex ont pu bond ensemble sur les larves... #chelou un peu non ???? petite pensée à leurs love interests
alb a demandé à sortir avec coco alors qu'il sortait déjà avec jozie ??? mystère à suivre ah et niveau trouple ça y va.... love, dani et nine sont ensemble!!!
He's so cold and human It's something humans do And is he really human? He's just so something new A waking lithium flower Just about to bloom
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Grell aime la cuisine Elle ne sait plus d’où ça lui vient, sûrement parce qu’elle est histoire d’amour et qu’on ne connaît pas une Mère qui n’aime pas nourrir ses petits. Elle se souvient juste qu’elle n’a jamais trouvé en cela une corvée et qu’elle a toujours apprécié voir les visages des enfants s’illuminer au réfectoire, du bouillon au menton et plein la nappe, à balancer joyeusement les pieds sous la table. Il n’y a que lors des repas qu’elle ne les réprimande pas de se salir. Il ne suffit que de ça pour calmer les moins sages et qu’ils puissent dormir d’un sommeil sans fièvre ; il ne suffit que de ça pour défaire en son cœur quelques tourments et apaiser sa propre faim que creuse son besoin de riposte. Elle a la faim, la soif, l’appétence, l’ivresse haute, ah ! Si l'on rassasiait l'amour comme la faim, alors.. Alors… Peut-être qu’elle n'aurait plus jamais faim.
Grell aime la cuisine, C’est pour cela qu’elle s’est rendue au jardin. Il manque quelque chose à son plat. Et ce quelque chose, c’est toi.
Il y a une certaine ironie à te trouver à l’eden, Caïn. Il paraît que c’est là que sont nés les premiers pécheurs, à une époque où avant le Père Suprême, il y en avait un autre. Tu mêles les odeurs de roses à celles de tes erreurs et tes yeux ont la couleur des bouquets de fleurs séchées. Si seulement tu en avais leur candeur. Bonjour, Caïn. Elle te salue et pose son panier en osier à ses pieds, l’ombre d’un sourire poli dans les rides aux coins de ses yeux. Elle se penche ensuite lentement pour que ses mains tapotent son tablier dont la chute semble interminable. On manque d’aromates à la cuisine. Elle annonce d’abord, le ton léger. La recette qu’elle imagine n’a besoin que d’une cuisson à feu doux. Tu peux me montrer où je peux en cueillir ? Son unique oeil se relève enfin pour le fixer sur toi, inquisiteur. Montre moi ce jardin et les secrets que tu cultives dans cette terre sainte ; montre moi comment tu fais pousser ces fleurs-cadavres.
il est vrai que pécheur et jardinier en un seul et même corps forment une union bien cocasse. la beauté du jardinier réside dans sa main dite verte, autorisant les fleurs à enivrer les jardins de leur parfum et à permettre aux rais du soleil de se réfléchir sur celles-ci, les rendant davantage éclatantes. c'est cette même main délicate qui constitue une partie du pécheur qui par définition, pèche. et le péché ! ça ! c'est laid..! il est pourtant inévitable. ce qui signifie qu'en chacun se loge un partie atroce où les vices sont enfermés, bien qu’infime puissent-ils être. il n’existe donc pas de beauté sans atrocité enfouie. prenez l’humain constitué de chair pour exemple : beau de l’extérieur, tout le monde s’est déjà surpris à s’extasier sur le physique d’autrui. à la grande différence du physique intérieur, servant d’objet horrifique glaçant le sang. on peut en conclure qu'en chacun réside une part de beauté avec, à l’intérieur, de la terreur que nous portons tous. il n’est finalement pas anodin de trouver un criminel niché au cœur d’un parterre en fleurs. qu’importe sa taille, chacun transporte son péché personnel. et dès lors que Grell se joint à Caïn dans la verdure, deux pécheurs cohabitent dans ce même endroit.
il la voit arriver au loin, La Grande Grell. sa taille impressionne, son œil singulier effectuant une pression constante suffit à dissuader tout blocard de toute idée contraire au règlement de l'Enclave. Caïn pose son sécateur au sol et se relève pour l’accueillir, non pas à bras ouverts mais à sourire chaleureux. Grell fait partie des rares personnes en imposant plus que Caïn physiquement. vêtue de la tête au pied, elle le dépasse d’au moins une tête. bonjour Mère Grell. il le salue à son tour, ne manquant jamais aucune formule de politesse à l’égard des Parents. prêtant une oreille attentive à sa requête, il joint son index à sa bouche comme pour réfléchir à une question dont il a déjà la réponse. il le laisse simplement terminer pour ne pas le couper dans son élan et se montrer impoli. avec plaisir, Mère. ses yeux se plissent lorsqu’il sourit, cela lui donne cet air obséquieux que chaque parent est capable de lui deviner. il ne s’en cache pas pour autant. alors il conduit Grell parmi les allées vertes des grands jardins, car les aromates se trouvent plus loin. il ne s’autorise pas de parole inutile en la compagnie d’une Mère — ou d'un père—, alors il garde le silence comme il l’a toujours fait avec presque tout le monde.
arrivés à destination, son buste se voûte et ses bras se tendent en direction des aromates prêtes à être arrachées. puis-je vous proposer du thym, Mère ? il marque une pause dans sa proposition. nous avons également beaucoup de basilic à disposition. il lui indique leur emplacement également. il y a évidemment possibilité de piocher un peu partout ! il lui montre ce large catalogue de choix avec ce sourire si beau, si grand, qu’il en serait presque capable de faire oublier la monstruosité de son âme.
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La beauté des jardins de l’Enclave à la belle saison n’a pas d’égal à son œil. En réalité, Grell n’en sait trop rien ; elle n’a jamais connu que ces quatres murs où ils y résident des choses si laides qu’elle en est venue à cette pensée. C’est ici qu’il y afflue le plus de vie ; ici qu’elle y a forgé les seuls souvenirs agréables, entre les fleurs et les grenades qu’on vole pour les croquer sous l’ombre des arbres toujours verts, les doigts collants de nectar. Les années ont passé, cruelles, mais son coeur est resté ici, dans le corset en jade des lilas et des immortels étés. Elle suit Caïn en silence et lève une main pour caresser les branches les plus délicates, un regard attendri posé sur sa nuque qui se plie sous les rayons, la poitrine plus légère à l’idée que quelqu’un prenne si bien soin de l’eden malgré tous les péchés qui y ont été commis.
Mais la tendresse n’a pas sa place à l’asile ; ne nous laissons pas bercer par ces illusions où a fleuri le miracle des roses ; elles tirent leur rouge vivide du sang versé dans la terre. Grell rend à Caïn son sourire tout aussi perfide, l’air de dire ta gueule d’ange ne m’aura pas ! Ça fait 10 ans que j’en mate des comme toi. Des pirouettes tu peux bien en faire aussi, elle a toujours apprécié regarder le club de théâtre de loin ; a même appris un peu comment jouer. Grell plie ses larges genoux au-dessus des petits bosquets de thym. Sa robe remonte légèrement sur ses chevilles que l’herbe vient effleurer. Son regard s’arrête un instant sur le sécateur ; le flash de quelques images amères lui passent devant les yeux. Il sourit.
C’est toi qui a planté tout ça ? C’est superbe, Caïn Il le flatte d’une voix doucereuse, s’exclame en imitant son ton théâtral sans faire perdre à ses mots leur venin. Deux pécheurs réunis à l’ombre des grands pommiers, c’est la nature qui reprend ses droits. La Mère cueille quelques feuilles de basilic et de thym pour les déposer délicatement dans son panier en osier. Tu es vraiment doué pour faire pousser ! Sa voix est aussi claire et criarde que le ciel azuré et ses paumes s’étirent par deux devant elle avant de les lever pour faire mine de s’étirer. Comment est-ce que tu t’es trouvé cette passion ? Est-ce que tu essayes de planter des pardons pour la vie que tu as ôté ? À moins que ce soit pour essuyer tes mains sales dans l’herbe coupée ? Il n'y a pas mieux que les parfums de fleurs pour masquer ceux d'un corps.
observer tant d’entrain chez Mère Grell satisfait Caïn. il n’est pas de ceux qui cherchent l’approbation de qui que ce soit, mais il n’empêche qu’il est flatteur d’entendre les éloges d’un parent, en particulier quand ce parent n’est autre que Grell en personne. Grell est grand et impressionne, Grell fait peur et intimide. il est le parent préféré de Caïn. les raisons ne sont pas affectives, Caïn ne tape pas dans l’affection. à la place, il se contente d’imiter ces patterns qu’il décèle chez les autres et de les reproduire ailleurs. c’est pourquoi il se montre obséquieux avec toute forme d’autorité parentale. oh ce n’est pas grand chose Mère ! je me contente de suivre les pas de mes collègues. c’est pourquoi les éloges de Mère Grell le rendent humble. ses commentaires le caressent dans le sens du poil. mais bien que tous positifs, l’un d’entre eux froisse Caïn. c’est cet appui particulier sur le mot pousser qui font s’hérisser ses poils sur ses bras. il ne le relève pas car il refuse catégoriquement de se montrer vulnérable de quelconque manière envers elle.
il s’abaisse aux côtés de La Grande Grell. à son niveau, il est plus petit mais a la possibilité de déchiffrer ses mots avec plus de justesse et de facilité. il l’observe piquer ces aromates qu’il plantera de nouveau dans un futur proche, se dit qu’il a dû halluciner et que cette exagération sur ce mot n’était que pure coïncidence, puis il prend l’initiative d’arracher quelques plants à son tour afin que Mère Grell puisse économiser de son précieux temps. oh, un peu par hasard Mère… il garde son sang froid, bien que maintenant plus méfiant. je ne savais pas trop vers quoi me tourner lorsque j’ai eu vingt ans… à l’origine, il avait pour souhait de rejoindre les coureurs au sein de l’immensité du Labyrinthe. mais le jardinage, c’est réservé à ceux qui sont en bonne forme physique et c’est un poste convenable pour les introvertis comme moi. il se redresse après avoir cueillit un nombre suffisant d’aromates dans ce secteur. si vous souhaitez davantage de produits pour la cuisine, je peux vous en montrer un peu plus loin Mère. il reprend son rôle de guide. et vous ? quelles sont vos passions, Mère Grell ?
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C’est au milieu du verger que Caïn enracine ses fausses passions comme des mauvaises herbes, au pied du serpolet encore humide par la rosée avant que les fruits ne flambent à midi. Grell s’étonne que sa gangrène ne les ait pas encore abîmés, sa main portant encore les stigmates de son péché ; elle a vu comme la pourriture se répand vite sur la peau des agrumes ! Et il ne faudrait surtout pas que tu souilles les bourgeons qui ne sont pas encore mûrs et dont Grell a coupé délicatement les feuilles fanées jour après jour pendant des années. Pour autant, elle ne pense pas que tu sois une mauvaise graine mais se demande lesquelles tu as planté juste là, dans le renfoncement de ton crâne, là où le cartilage est encore mou à un âge où on ne sait pas encore marcher. Mais tu es grand, Caïn ! Tu marches et surtout, tu cours. Il lui faudrait alors enfoncer ses larges doigts dans tes globes oculaires pour y cueillir des secrets bien gardés.
À la place, elle attrape quelques brins d'arômates et les arrache d’un coup net.
Il est vrai qu’à te voir traîner autour du labyrinthe plus jeune, je t’imaginais finir là-bas. Quand elle parle à Caïn, Grell met du miel dans sa voix, ajoute une douceur sur ses mots qu’elle n’a pas en son cœur. Sa tendresse à elle est mécanique ; ses bras durs et froids. Pour autant ses enfants n’ont jamais manqué à se réfugier dedans, poussés par le besoin primaire d’embrasser du métal plutôt que le vide. Mais je comprends que tu aies abandonné l’idée, toi qui a tant perdu derrière ces murs… Le garçon désormais à sa hauteur, elle réfugie ses ongles pleins de terre dans les cheveux de ce dernier. Elle est aussi comme la sienne ; sale d’un sang décrépi depuis des années. Son œil lui glisse un regard pour observer la décomposition de son visage mais après tout, il s’agit de Caïn, et ses émotions n’appartiennent qu’à lui. Ah, il n’y a pas de livre plus difficile qu’un enfant qui a fini de grandir. Je n’ai qu’une passion et c’est vous, mes petits. Le sourire qui l’accompagne n’est pas tendre. Il est animal.
La Mère se redresse, l’anse en osier au creux de son coude, géante à côté du garçon accroupi. Elle regrette de ne pas l’avoir connu à un âge où même debout il lui serait arrivé aux genoux, à un âge où il aurait été un argile facile à modeler. Je suis désolée, mon chéri. Tu n’as peut-être pas envie de parler de tout ça. Quel pécheur aime t-il avouer qu’il a péché ?
il ne sait pas bien déchiffrer les messages cachés derrière les mots du parent. lorsque c’est Grell, on ne sait jamais sur quel pied danser, ni sur quel ton répondre. Caïn reste planté là, parmi les aromates que Grell arrache d’une poigne assurée, il a l’impression de passer à la casserole, lui aussi. Grell le fait bouillir, il a allumé le gaz sous ses pieds et s’apprête à l’éplucher. ah oui... j’aimais bien le Labyrinthe effectivement… Caïn sent son cœur battre, il a envie de s’échapper de sa poitrine, il faudra bientôt le ramasser. mais petit je n’étais pas assez bon coureur… j’ai changé de voie. on pourrait presque le croire bègue, ses mots sont hésitants.
le changement de sujet n’est que bref, Grell renvoie la balle dans le camp de Caïn, sa question s’envole mais retombe immédiatement à ses pieds, il a échoué. cela m’importe peu, Mère. mais il ment, il feint ce calme de l’extérieur alors que la tempête s’empare de lui, peut-être lui coupera-t-il le souffle dans les secondes à venir. c’est honorable de consacrer sa vie aux enfants. Caïn remue ses doigts dans ses cheveux afin d’ôter les petits morceaux de terre déposés par les grands doigts de Grell, puis il se munit d’un arrosoir proche de lui, il ne faut pas perdre une seconde de travail. il se met à arroser les nouveaux plans de tomates venant d’être plantés par un autre blocard plus tôt dans la matinée. il réalise qu'il ne sait plus vraiment quoi lui dire, alors il se contente de la regarder du coin de l'œil en continuant d'arroser les légumes, accompagné d’un sourire crispé, trop peu naturel.
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Elle sent l’herbe lui chatouiller les chevilles et le vent faire frémir le jupon de sa robe. Grell s’ancre dans la terre qu’elle a, elle aussi, labouré bien avant Caïn et dans laquelle elle a planté les fruits d’une enfance dérobée. Une enfance durant laquelle on l’a élevé en agneau d’abattoir avant qu’on lui confie le bâton de berger à son tour, la chair destinée au Père et non à la bouche des hommes. C’est comme si elle s'était toujours tenue là, au milieu des pommiers, à l’image d’un chêne déjà vieux mais qui a encore plusieurs siècles à offrir. Et c’est pendant qu’elle reprend racine dans son jardin, dans ses droits, que le garçon voit son écorce à lui peler pour entrevoir un bois jeune et frais, saignant d’une sève rare et épaisse. C’est un miel d’exception que seules les Mères bien pensantes peuvent récolter et Grell se félicite d’avoir réussi. Celui-ci est amer plus qu’il n’est sucré.
Grell ne bouge pas. Du moins, aux yeux de Caïn qui ne la regarde plus que du coin de l'œil dans une vaine tentative de s’extraire de sa Mère. Elle se fait oublier un instant pour se glisser derrière lui et réapparaître aussitôt dans son dos. Des parents, elle fait partie de celleux qui tirent le plus profit de sa capacité et de la restriction imposée au bétail. Elle se penche au-dessus de son épaule. Debout derrière le jeune homme accroupi, elle n’a jamais paru si grande et son ombre le recouvre entièrement. Une main sur le haut de sa tête, elle caresse ses cheveux d’une langueur compatissante. Tu es devenu grand et beau. Sa voix est douce, presque triste, et surtout, elle est dénuée de fierté. Caïn perd également de sa composition ; même Jude lui a paru plus impassible quelques années auparavant face aux faits. Tu devrais faire attention à ce qu’on dit sur toi. Elle rajoute d’une voix tranquille, si bien qu’on ne sait s’il s’agit d’une menace ou d’un conseil. Le sourire qu’elle aborde n’est pas malveillant. Il n’est pas tendre non plus. Et toi, Caïn ? À quoi est-ce que tu t’accroches ?
la présence de Grell ressemble à un piège se refermant petit à petit sur lui. il suffoque au milieu des ingrédients de Grell, il a l’impression d’en faire parti. heureusement pour lui, elle disparaît l’espace d’un instant, Caïn sent ses épaules et son torse se relâcher. de nouveau, il s’attèle à la tâche. s’abaisser, cueillir des petites herbes, les conserver dans la main pour les donner à Grell.
mais revoilà déjà le parent et sa grande main aux doigts crochus sur la tête du pécheur, elle pourrait lui tordre le cou si l’envie lui prenait. mais ses mots sont comme le miel des abeilles. pourtant, d’aussi longtemps qu’il s’en souvienne, Caïn n’a jamais apprécié être aimé. ou était-ce l’injustice qui l’a forcé à se persuader que de toute manière, il n’avait pas besoin d’amour ? quoi qu’il en soit, aujourd’hui, il ne sait plus réagir aux gentils mots. il se crispe, ses muscles deviennent raides et ses dents : serrées. alors il se redresse pour se libérer du poids que Grell lui inflige sur le dessus de son crâne et dans son corps tout entier. comme convenu, il lui transmet les quelques herbes récoltées quelques instants plus tôt. je ne m’accroche à rien de spécial. la panique le prend de court, elle lui coupe l’herbe sous le pied. ses mots sortent de sa bouche plus vite qu'il ne pense, bien qu'il dise vrai. rien de spécial ne l'anime depuis bien des années déjà. Caïn ne sait pas s'il aimerait mourir prématurément. ce qu'il sait, c'est qu'il aimerait que Grell s’en aille aussi vite qu’il est venu. j’aimerais retourner travailler, maintenant.