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L’appel de l’avarice ne trouvait source qu’en de reculées contrées d’un esprit perpétuellement corrompu par l’insatiable, poussant Sage au seuil de cette folie passagère où se nichait l’imprudence. Des désirs frappés par le sceau du besoin, d’impromptues décisions gardées par l’égide du péché commun, irrésistible, hôte de cette coupable adrénaline qui faisait battre les cœurs d’une telle ardeur.

En cet instant, plus que jamais, les quatre de lettres de Sage s’effritèrent comme frappées d’une soudaine dyslexie, dépossédées de leur moindre sens : une véloce et virulente audace, vile vestige d’une vieille adolescente à présent oubliée, semblait presque d’assaut un d’ordinaire si pragmatique esprit pour l’enchaîner dans la primaire pulsion de l’impulsivité. Ah, le cinéma. Un art au-delà des affres de la cruelle temporalité ! La serre avide de la passion, la grandiloquence par la créativité ; l’évolution, la chronologie de deux millénaires au cœur d’un simple et si fin disque.

C’est de la bonne ?

Encore fallait-il que, gagné par une bêtise sans nul doute naturelle—à bien y réfléchir—et acclamé par un talent culinaire incapable de servir l’intérêt de quiconque possédait des papilles à même de discerner la nourriture d’un déchet organique, il fasse preuve d’un tant soit peu de réflexion.

Néanmoins, il troquait avec l’unique personne à même d’apprécier ses créations à leur valeur tant juste que négligeable, mais qui était-il pour juger les goûts d’autrui de la sorte ? Les exploiter, passait encore, jamais au-delà ! En l’instant, le désordre de sa capillarité s’estompait sous une large capuche, teintant la scène d’un drame exempte de toute nécessité ; la comédie, tout au contraire, y trouvait son luxe.

Je vais me mettre bien avec ça. Je te paie comme d’habitude ? Attention, je l’ai un peu chargé cette fois.

Un mauvais film de comédie n’en aurait pas fait autant. D’une main lente et presque terrifié par la portée nocive de ce qu’il tendit au jeune homme, il présenta un gâteau fait maison.