| | Avatar : sua (alien stage) + faye wong (crédits : @tarik, @lichen, @capryss & @dante)
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Poste : grande soeur des psy.
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Statut : célibataire.
Inventaire : un chaton nommé georgette.
Pronoms : elle.
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| [ Mer 7 Aoû 2024 - 21:12 ] murder song (5, 4, 3, 2, 1), askhat there lies a place i might call home with a couple of sticks and a couple of stonesUne ombre mortifère pèse sur le microcosme de la ruche comme un présage des disparitions à venir, sans pour autant y inscrire le sang. Les cadavres, ni enterrés ni mort-vivants comme ils s'imaginent après la porte du Paradis, se font dévorer - cette violence-ci, ils ne la connaissent pas. Ils ne la prédisent pas. Maintenant, toutefois, Robin sait tuer : elle a dû le faire à deux reprises ; une première pour punir la désobéissance et l'annihiler, une seconde pour sentir les chairs se refroidir entre ses mains jusqu'à ce qu'elles deviennent rigides. Askhat n'a été témoin que du premier et s'est sûrement laisser surprendre par la deuxième. Enfin c'est ce que Robin se dit quand elle l'observe et qu'elle sent des noeuds sur le fil qui les relie. Elle vient, ici bas, les démêler précautionneusement, sans y enfoncer les ongles. Elle veut faire preuve de tendresse puisqu'il n'a rien fait, et prendre le temps de rendre à cette corde de sa souplesse pour ne pas qu'il se pende dans sa peine.
La scène lui rappelle celle d'il y a quelques mois. Robin, dans presque la même tenue que la nuit de la mort de Mia, le retrouve beaucoup plus tôt, après le repas. Elle a saisi le chaton dans ses bras avant de descendre, qui s'accroche à son col et son cou, y enfonce ses griffes sans la blesser, de crainte du monde étrange des couloirs et des escaliers. Elle toque à la porte d'Askhat de son poing, et tient fermement la chatonne d'une main dans juste au-dessus de la queue. Elle la recouvre presque entièrement. Ouvre-moi. C'est exactement le même ordre que la dernière fois, le même ton - elle ne réalise pas la répétition de ses gestes et du cynisme des choses qui changent vite et mal. J'ai pris mon chat, je me suis dit que tu voudrais peut-être la voir. Si ce n'est pas le cas, je peux la remonter. Ils se sont vus aujourd'hui, elle ne le salue pas. Elle lui tend le chat pour lui montrer, sans le lâcher, le chaton se débat pour revenir à elle, encore dans l'hostilité austère des couloirs qu'elle n'a jamais vu changer depuis qu'elle a quitté cet étage. Comme habituellement, Robin ne sourit pas vraiment, et ne s'enquiert d'aucun effort particulier de jovialité. Son calme est plein et statique, comme celui de l'Enclave que rien ne perturbe très longtemps et où tout s'oublie tranquillement. Tu es perturbé ces derniers temps, non ? Est-ce à cause de moi ? Elle le lui demandera à la porte ou dedans selon comme il l'invite. Le chat réclame de descendre mais il n'y a nulle part où se cacher s'ils ne sont pas dans la chambre. Elle attendra que la porte soit fermée. | | | | |
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| [ Jeu 8 Aoû 2024 - 13:45 ] murder song (5, 4, 3, 2, 1), askhat He did it all to spare me from
The awful things in life that comes
Il avait d’abord était contrarié, bien sûr. Il n’avait pas embrassé la révolte des autres car elle ne lui semblait jamais légitime ni nécessaire — Askhat savait que, d’une certaine façon, les animaux sont faits pour être tués et ne croyait pas à l’innocence de manière générale — mais il avait perçu nettement se creuser entre Robin et lui une brisure, ou un ravin, ou en tout cas une frontière distante, qui de part et d’autre déformait le lien qui les unissait. Il avait voulu prendre le temps de veiller à ses propres sentiments car il n’estimait pas pouvoir leur faire confiance et il s’attachait bien mieux à une chose plus factuelle, plus neutre, qui leur donnait source. Il avait poursuivi les choses comme d’habitude.
Il ne trouvait pas son attention pour les chats déplacée, c’était ce qu’il disait lorsqu’il sortait de ses poches les tendons sectionnés, et leurs muscles immangeables, des bêtes qu’il avait tuées pour donner aux chiens et aux chats qui erraient près de l’abattoir. Il savait qu’il ne s’agissait pas de pitié, car il enlevait ses gants pour les caresser, et ne pas les couvrir du sang des animaux de la ferme alors qu’il grattait le sous-poil de leurs encolures, car il ne trouvait aucune justification logique à l’affection qu’il avait pour les uns à les nourrir des autres. Il savait qu’il n’y en avait pas et ne voulait pas se faire l’affront et l’effort de prétendre le contraire. Il aimait mieux les chiens, et il viendrait peut-être un temps où la viande manquera à l’Enclave, où l’on mangera les chiens.
En fait, c’était la cruauté qui le troublait. Il observait Robin depuis ces quelques temps alors qu’il avait cessé de le faire. Il s’était aperçu qu’il faisait pour elle les raccourcis qu’il se refusait à lui-même et il considérait qu’il ne pouvait, en fait, ne s’en prendre qu’à lui-même ; car rien ni personne, en effet, ne lui avait inculqué chez Robin la perception d’un sens aigu de la pitié ou de la raison. Askhat se figurait qu’il fallait se ranger avec elle à un ordre mutuel de contenance. Mais cela encore ne suffisait pas à résoudre la froideur qu’il éprouvait pour elle. Ce genre de dilemme le tourmentait plus précisément que le chat égorgé.
Il lui ouvre de la même façon que cette fois-là. Pour la première fois depuis longtemps, il a des doutes sur la nonchalance de son intimité qu’il se force à éluder, moins pour simuler l’habitude que pour ne pas donner de place à cette faiblesse. Il laisse Robin rentrer sans lui répondre vraiment. Sa chambre est encore moins encombrée : il a jeté ses collections depuis son anniversaire et il choisit minutieusement ses nouvelles possessions. Il n’y a qu’un caillou noir, poli par la rivière, qui luit sans briller sous la fenêtre ouverte.
Robin, vue d’en contre-plongée, est grande et minérale, statufiée. Il s’est interrompu un peu, dans le cadre de la porte, en voyant la petite chatte, et il les dévisage encore maintenant qu’il les voit vraiment ensemble, mises en perspectives dans sa chambre. Il s’aperçoit que voir le chaton se débattre de crainte lui fait un point sous le coeur, un peu à gauche, c’est le point cardinal de la jalousie.
En partie. Georgette coince ses griffes dans les fils du col de sa maîtresse, dont il perçoit les épaules roides, sans chaleur. Il fixe ce spectacle avec un sentiment absent, qui lui paraît indiscernable. Il retourne s’asseoir sur son lit, et il s’asseoit toujours de la même façon. A 70%, je dirais. Il tient sa cheville dans sa main et son pied fait des mouvements répétés, inconscients, comme la queue des chiens se soulève périodiquement.
Je comprends pas à quoi ça sert de faire ce qu’on fait ni pourquoi tu as tué le chat. Il lui demande sans détour et sans piège : il sent qu’il existe, d’une certaine façon, une frontière commune entre Robin et lui qu’il n’a jamais vu jusqu’à présent, et qu’il désigne sans culpabilité. Il se penche en avant. Le chat déguerpit dans l’interstice entre les tiroirs et le mur sous le lit. Les deux mis ensemble, je veux dire. Ca fait plus tellement sens. J’aurais pu ne pas venir, au final. Il avance cela à nouveau sans reproche, cherchant simplement à dégager du sens. Il avance au bord du lit, il repère dans le noir les petits yeux brillants du chaton. C’est comment ? J’ai envie de la tenir. Il sait qu’elle a peur.
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| [ Ven 9 Aoû 2024 - 16:26 ] murder song (5, 4, 3, 2, 1), askhat there lies a place i might call home with a couple of sticks and a couple of stonesRobin a le réflexe maternel mais mécanique, sans particulièrement de coeur, d'aller fermer la fenêtre quand Georgette lui échappe sans qu'elle ne cherche à la rattraper. Elle le fait comme un mécanisme bien appris et car on lui a dit de prendre soin de ce petit chat qui la prend pour sa Mère de qui elle a été arrachée et se retourne aussitôt pour regarder Askhat. Enfin - non - d'abord elle soupèse la pierre noire dans sa main avant de la reposer. Puis elle regarde Askhat, appuyée, contre le mur, main dans son dos. Elle le laisse rompre l'espace entre le chaton et lui, toujours apeuré de cette ombre pourtant docile et dont les mains sont gentilles - Robin le sait.
Elle signale qu'elle lui entend ce qu'il lui dit de petits "mh mh" entrecoupés de silence et qui lui permet d'avoir un peu plus de temps pour réfléchir ce qu'elle veut répondre à Askhat. Avant tout, elle ne s'excusera pas. Comment cela ? Tu as gagné une étoile ainsi, et je ne doute pas que tu en gagneras une seconde sous peu. Elle met en avant la matérialité de la réussite d'Askhat - leur réussite, à vrai dire, et se défend grâce au confort de cette chambre acquis par la docilité maîtrisée par les règles qu'elle lui a imposées. Ce que j'ai fait, cela n'a rien à voir. Tu ne comprendras peut-être pas, mais ce chat n'était à personne. Je ne comprends pas pourquoi il faudrait nourrir les animaux errants dont les propriétaires sont partis. Un temps, elle reprend sans tabou - son coeur est ouvert et sans secrets, à part ceux qui le sont pour elle aussi :Et je me demandais si j'étais capable de tuer un animal et ce que cela me ferait. Je n'ai pas eu tout-à-fait de réponse.
Elle le regarde et interroge avec une contrariété pincée : Pourquoi tu dis ça ? Dire que tu n'aurais pas dû venir. Sans cela tu ne serais pas dans cette chambre. Et pourquoi fais-tu le lien entre Pickles et notre groupe ? Je veux sincèrement comprendre. Elle s'approche et met sa main sur son bras pour l'écarter et s'agenouiller au plus de Georgette qui n'a pas bougé face à Askhat. Le chaton revient sur ses pas pour sentir la main de sa maîtresse. Robin l'attrape à nouveau sans qu'il ne se débatte, elle se relève pour tendre l'animal à Askhat. Tiens tu peux la porter. Elle mord un peu les inconnus, elle n'est pas sevrée. Mais il faut qu'elle s'habitue à toi. Le tout manque de délicatesse alors qu'elle ne laisse même pas Georgette sentir Askhat avant de la lui mettre dans les bras, concentrée sur la transition de bras à d'autres. | | | | |
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| [ Jeu 15 Aoû 2024 - 15:47 ] murder song (5, 4, 3, 2, 1), askhat He did it all to spare me from
The awful things in life that comes
Georgette a un cou fragile qui peine à porter son énorme tête. Elle tremble sur ses appuis dans les bras d’Askhat et couine en sentant, sur ses doigts, l’odeur du savon des toilettes, qui couvre celles de la terre et du sang séché. C’est pas grave. Elle a de trop petites dents pour que ça fasse mal. Askhat la tient comme il tient les agneaux : contre sa poitrine, sans maladresse, avec une compassion attentive, forcée, et piégeuse. Il n’aime pas que la fenêtre soit fermée, mais il ne reproche pas à Robin de se le permettre. Simplement il prend maintenant la mesure de l’étroitesse de la chambre, dont les quatre murs sectionnent et limitent l’espace, et de l’intimité froide que cela lui impose. En un sens, il prend conscience, lorsque Robin se permet de fermer la fenêtre, du sentiment d’étouffement que signifie les foyers. Il ne rechigne pas. Il s’est contenté de la fixer avec attention lorsqu’elle a touché la pierre, et maintenant, iels existent toustes les deux dans cet environnement sous vide.
J’aime bien les chats, c’est tout. Je préfère les chiens mais je les aime bien quand même. En un sens, ils sont à tout le monde. Ou ils n’ont pas besoin d’être à quelqu’un. Il caresse le ventre de Georgette du bout des doigts, sentant le relief de chacune de ses côtes, prêtes à être brisées comme du verre. Askhat est un peu répugné par la fragilité du chaton, et la peur qui s’en dégage. Il se dit qu’il va falloir qu’elle soit plus forte que ça si elle veut vivre. Tuer un chat, c’est inutile. Il la porte devant elle. Leurs nez se touchent. Les pattes de Georgette s’agitent dans le vide. Askhat pourrait faire le choix de la laisser là : la chatte est sans défense. Sa peur se prolongerait avec le jour.
Je veux dire, c’est cruel, parce que ça ne sert à rien ici, c’est choquant de tuer pour rien. Qu’est-ce qu’ils t’ont dit, les parents ? Je veux dire que si ça m’intéressait, d’être dans les abeilles, c’était pour — tu vois, pour ne pas être cruel pour rien. Il se mord les lèvres et repose le chaton sur ses genoux, lui caresse la tête en signe de pardon. Ca marche sur les agneaux mais pas sur elle : Georgette regarde partout autour d’elle, il ne lui en veut pas. Je te fais pas de reproche. Je suis content de ce que j’ai, je regrette pas. Il passe son pouce sur son poil dans un sens, puis dans l’autre. La petitesse de la vie contenue dans le corps de Georgette lui donne un pincement entre les côtes et derrière le coeur, c’était, à une époque, le même sentiment que lorsqu’il allait pleurer, même sans tristesse.
Si j’ai envie de continuer d’avoir ce que je veux, je dois suivre les règles. Si tu te mets à tuer des chats, c’est, tu vois, sortir des clous, j’ai besoin de faire comme toi. Il lève le menton de Georgette vers lui. Les yeux du chaton sont mouillés d’une pitié facile qui le contrarie. Sinon, qu’est-ce qui m’empêche de faire pareil ? Tu sais que j’y pense souvent. Tu vois ce que je veux dire.
C’est le fait qu’elle reste, malgré tout, qu’il méprise. Il la caresse encore. Pourquoi tu viendrais pas à l’abattoir avec moi si tu veux savoir ? C’est pareil. Enfin, chaque animal meurt différemment, mais si ce que tu veux savoir, c’est comment c’est, là au moins ça aurait du sens. Il se tait. Georgette réclame Robin. Askhat se penche en arrière, les mains à côté des cuisses, et fixe le chaton peiner à tourner sur elle-même. Tu t’es sentie comment ? En le faisant. Après. Je sais pas. Tu dis “pas tout à fait”. | | | | |
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| [ Jeu 29 Aoû 2024 - 19:07 ] murder song (5, 4, 3, 2, 1), askhat there lies a place i might call home with a couple of sticks and a couple of stonesRobin n'aime pas non plus l'exigence de l'élevage d'un chaton ; c'est pour cela que même chez les blocards, elle les prend déjà grands et capables de sentir le danger. La souffrance, quand elle est arrive, est une punition à ses propres agissements ; le petit chaton ne comprend rien des erreurs qu'il fait de lui-même, si bien que l'apprentissage par les erreurs ne mène à rien. C'est pour cela qu'elle ferme les fenêtres. Robin ne se plaint pas d'étouffer et même rien ne le trahit - même pour elle, elle se fiche de ce genre de mal-êtres nécessaires et compose avec. Askhat agit bien avec les animaux : Robin le voit. Ses mouvements sont justes et ses mains savent où saisir le chaton, elle observe comment il fait pour retenir les mouvements et les répéter quand elle devra la saisir à nouveau.
Aussi, elle l'écoute parler. Robin a un silence lourd qui laisse une place solennelle à ses interlocuteurs et qui est enclin à se prolonger à l'infini ; elle ne s'empresse de répondre à rien et acquiesce régulièrement pour montrer qu'elle ne s'est pas déconcentrée, par habitude. Mais Askhat ne doit plus en douter, cela fait longtemps qu'il connaît la teneur de cette intensité induite par l'immobilité - et Robin ne faillit jamais à entendre le moindre mot. Elle voudrait garder l'image d'Askhat et du chaton nez contre nez pour toujours près de son coeur : elle en éprouve beaucoup de tendresse. Elle voudrait les enserrer tour à tour, ou bien en même temps, elle ne sait pas - mais elle s'émeut de la gentillesse d'Askhat. Elle s'est assise à nouveau sur le lit et récupère le chaton quand il le réclame. C'est injuste qu'elle me réclame, tu la tiens mieux que moi. Elle le dit sans amertume, elle conscientise l'amour invincible et inné pour qui représente la mère ou le père. Elle laisse Georgette revenir sur ses genoux mais cela ne fait pas sens : elle ne flatte que maladroitement son flan, et ne joue pas aussi bien avec sa tête. Elle se contente de la caresser, de gestes répétitifs et évidents. Robin revient à la discussion en regardant Georgette qui déploie ses pattes avant pour s'accrocher à son haut, puis à son épaule quand elle est maintenue, et qui ne cesse de chercher la chaleur de son cou - et peut-être son odeur. Jim m'a ignoré pendant un moment. Grell est allée dans mon sens. Et le Père... Il ne m'a rien dit de négatif. Je n'ai pas été punie. Alors la justice a tranché pour son innocence, peu importe les actes commis et assumés. Elle répond à tout donc, espère ne rien oublier ; N'est-ce pas alors que j'ai fait ce qu'il y avait de juste ? Tu te trompes, ce chat avait un propriétaire et ce propriétaire est parti pour le Paradis. Ce chat n'appartenait à personne, je me disais que c'était idiot de le faire survivre. Ce n'était pas cruel pour rien. Elle a mal au coeur d'imaginer être méprisée par Askhat et souffre du besoin de se défendre face à lui. Robin ne veut pas le perdre. Et si j'avais fait ce qu'il y avait de juste ? Ce qui compte c'est le fait d'en avoir le droit et l'intention derrière. et notre Père m'a validée dans l'un comme dans l'autre. Il ne m'a pas jugé. Toi tu n'as pas à tuer des chats et il faut que tu t'éloignes de cette cruauté car elle est trop près de tes vices, mais il faut bien que quelqu'un le fasse n'est-ce pas ? C'est ce que j'ai appris. Je verrais, pour l'abattoir. Elle ne dit ni oui ni non. Georgette l'embête, mais elle ne dit rien. J'ai pleuré mais car Nine me disait que j'étais un monstre et que cela lui faisait de la peine. C'est sa peine qui m'a fait pleurer. Avant cela, je ne savais pas quoi ressentir. d n'est pas facile pour moi de savoir quoi penser de ce genre de choses. Elle commente et elle décroche le chat qui miaule et qui lutte pour la poser sur le lit. Elle s'en lasse un peu. Peut-être que le Père veut savoir si je suis capable d'élever ce que je suis capable de tuer. Le dernier mot a une saveur étrange sur sa langue, elle évite Askhat du regard, Mais cela n'est pas censé te regarder. Tu n'es censé prendre que ce qu'il y a de bon de ce qui t'est offert. Tu es déjà capable de faire le tri, après tout, de ce qui te semble injuste et mal. En cela tu es déjà différent de moi sur certains aspects, alors tu ne dois pas faire comme moi. Tu dois comprendre pourquoi ce que tu fais est juste. Tu as déjà eu envie de tuer quelqu'un ? | | | | |
| | | [ ] murder song (5, 4, 3, 2, 1), askhat | | | |
| murder song (5, 4, 3, 2, 1), askhat |
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